L’UPA augmente son offre de services à Rivière-du-Loup
Rivière-du-Loup – Avant de s’adresser aux producteurs agricoles à l’Hôtel Universel en après-midi, la Fédération de l’Union des producteurs agricoles (UPA) du Bas-Saint-Laurent a rencontré les journalistes pour annoncer qu’elle augmente son offre de services à ses nouveaux bureaux de Rivière-du-Loup.
Le nombre d’employés en poste à son point de services situé au troisième étage du Centre commercial Rivière-du-Loup passe donc de deux à cinq. Outre son siège social à Rimouski, la Fédération dispose également d’un autre bureau à La Pocatière. « Au cours des deux dernières années, la fédération régionale et les syndicats ont eu à travailler sur les regroupements et le fonctionnement des syndicats. Je suis fier d’annoncer que nous sommes encore plus présents dans tout le Bas-Saint-Laurent », a commenté Gilbert Marquis, président.
FISCALITÉ, COMPTABILITÉ ET GESTION
Les entreprises agricoles du Bas-Saint-Laurent peuvent donc compter sur une équipe d’une quarantaine de personnes spécialisées dans différents domaines. En plus des employés localisés à Rivière-du-Loup, d’autres spécialistes se déplacent sur le territoire pour répondre à des besoins spécifiques en lien avec la fiscalité agricole, la comptabilité, les taxes à la consommation, l’informatique et la gestion agricole.
L’UPA offre également de l’aide au regard des modalités spécifiques de plusieurs programmes agricoles de même que la préparation et la transmission des données pour les programmes Agri-stabilité, Agri-investissement, Agri-Québec et Agri-Québec Plus. D’ailleurs, plus de 50% des entreprises agricoles utilisent un ou plusieurs services de la Fédération de l’UPA.
2040 ENTREPRISES
L’évolution des entreprises agricoles a occasionné des changements dans les façons de faire et les exigences techniques. L’UPA a donc suivi le mouvement afin de mieux répondre aux besoins de sa clientèle. D’ailleurs au Bas-Saint-Laurent, le nombre d’entreprises agricoles est stable depuis quelques années à environ 2040. Certaines pertes dans le secteur laitier ont été compensées par un gain en acériculture (érablières) et au niveau des cultures maraichères.
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