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Succès de la campagne de financement du programme «Je suis capable»

durée 16 mai 2016 | 06h02
  • Le manque de financement gouvernemental mis en péril le programme «Je suis capable». Il propose des journées d’ateliers de science ou de technologie s’adressant aux élèves de 4e, 5e et 6e année du primaire qui vivent dans des milieux ruraux peu exposés aux sciences et technologies, qui connaissent des taux élevés de décrochage.

    Vu les coupures, une réorganisation de la sortie de fin d’année a eu lieu pour en réduire les couts. En plus de cette réorganisation, le manque de financement a forcé la remise à plus tard de l’extension du programme qui était prévu dans deux écoles de la Gaspésie. Un bénévolat ponctuel mais exceptionnel a permis de poursuivre le programme. Malgré toute cette réorganisation, l’organisme n’était pas en mesure de terminer les ateliers scientifiques.

    Ainsi, une campagne de financement a été lancée et plusieurs donateurs ont répondu à l’appel. La fondation Trottier, le Comité régional EPG du Bas-Saint-Laurent et la ville de Rimouski, la fondation du Cégep de Rimouski, la fondation Ernest-Simard, l’UQAR, le syndicat des professeurs et professeures de l’UQAR, SCF-Pharma, l’Unités régionales de loisir et de sport, les sœurs du Saint- Rosaire, Les filles de Jésus, Les Ursulines, Organic-Ocean et Chantal Coiffure ont tous permis de compléter l’année 2015-2016.

    Les députés de Rimouski et de la Mitis ont également apporté une aide précieuse dans la recherche de financement. Tous les maires de la MRC de la Mitis ont conjointement envoyé une résolution au gouvernement pour montrer leur appui au programme.

    Le budget annuel du programme s'élève à environ 90 000 $ dont le tiers est couvert en services de la part de l’UQAR et du Cégep.

    Au total, près de 700 élèves de la Mitis, de Saint-Fabien et de Saint-Eugène (9 écoles et 12 classes par année) ont pu participer depuis cinq ans à ce programme qui leur a permis de se familiariser avec les sciences et les technologies, dans des domaines très variés et dans des lieux de science qu'ils n'ont pas l'habitude de fréquenter (UQAR, Cégep de Rimouski, ISMER, Institut maritime du Québec).

    Toutefois, si le désengagement gouvernemental persiste, la survie du programme est menacée, sans la participation des donateurs.

     

     

     

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