Réaménagement du parc maritime de la Pointe de Rivière-du-Loup
La Chambre de commerce appelle à la mobilisation
La Chambre de commerce de la MRC de Rivière-du-Loup lance une campagne de financement dont l’objectif est d’amasser 500 000 $. Une initiative visant à démontrer l’intérêt du milieu des affaires pour le réaménagement du parc maritime de la Pointe de Rivière-du-Loup.
Pour la gestionnaire Esther Blier, le milieu des affaires doit démontrer au gouvernement, tant provincial que fédéral, l’importance que revêt le projet. «Compte tenu du cout global, ça peut paraitre peu, mais c’est le signal que cela envoie alors que des annonces importantes sont imminentes.»
Mme Blier considère comme hautement probable la première pelletée de terre pour l’an prochain. Ce coup de pouce de la Chambre de commerce de Rivière-du-Loup arrive donc à point nommé. Les gens d’affaires sont invités à contribuer à ce «levier indispensable» en retour de visibilité.
Ainsi, pour la somme de 2 500 $ il sera possible de faire inscrire son nom sur un banc de parc, ou, pour 1 000 $ d’ajouter le nom de son entreprise sur la plaque commémorative qui sera située à l’entrée du bâtiment d’accueil.
Pour plus d’information ou pour démontrer leur intérêt, les gens d’affaires sont invités à communiquer avec Esther Blier, gestionnaire, en composant le 418 867-8882 poste 205 ou par courriel à [email protected].
PROJET
Le concept développé par la Corporation du Carrefour maritime de Rivière-du-Loup en 2015 est évalué à 13,3 M$. Le projet consiste en l'implantation d'une structure d'accueil majeure regroupant sous un même toit les différents promoteurs touristiques ainsi que l'aménagement d'espaces publics extérieurs, et d'un stationnement. Un volet maritime vise, quant à lui, le remplacement d’équipements nautiques, des travaux de dragage, l'agrandissement de la marina.
Annuellement, plus de 200 000 personnes y transitent alors que le site, désuet, souffre de nombreuses problématiques dont des aires de circulation mal définies et le manque d'infrastructures dont des aires de circulation mal définies et le manque d'infrastructures.
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