Sylvain Lamarre est le nouveau directeur du Service incendie de Trois-Pistoles
Un peu moins de deux mois après le départ de Pascal Rousseau le 20 novembre dernier, la caserne 51 connait maintenant l’identité de son prochain directeur, Sylvain Lamarre. Ce dernier entrera en poste dès le 15 février prochain.
M. Lamarre était jusqu'à son embauche directeur du Service de sécurité incendie de Saint-Denis-de-Brompton. Il a aussi été le directeur du Service Incendie secteur est de Mékinac (SISEM).
«Sylvain Lamarre est la personne qui a le mieux performé lors des entrevues et c'est une personne qui possède un riche bagage au niveau des services incendie», a souligné le maire de Trois-Pistoles, Jean-Pierre Rioux.
Lors d'une précédente entrevue, M. Rioux se disait chanceux de la qualité des candidats et de celui retenu pour le poste de directeur. Rappelons que la ville de Trois-Pistoles procèdera aussi à l'embauche d'un chef des opérations, mais que l'identité de la personne reste à être confirmée.
La ville met de l'avant l'expérience de son nouveau chef dans les mesures d’urgence, en prévention et en gestion d’équipe. Selon une note interne envoyée aux employés municipaux pistolois, le nouveau directeur a occupé plusieurs fonctions au cours de sa carrière principalement dans les régions de Montréal, au Bas-Saint-Laurent et en Estrie.
Le Service de sécurité incendie de Trois-Pistoles compte 13 pompiers sur une possibilité de 24 qui doivent répondre à environ 175 appels par année. À titre comparatif, le Service de sécurité incendie de Saint-Denis-de-Brompton comprend environ 30 intervenants incluant les premiers répondants qui sont de niveau PR3 pour environ 500 appels par année.
Le 13 janvier dernier, M. Lamarre et ses hommes ont eu à combattre un violent incendie qui a ravagé une résidence de Saint-Denis-de-Brompton. Pour lire le reportage de nos collègues de La Tribune, cliquez : ICI.
1 commentaires
50 % de personnel en manque ?
C'est énorme !
On remarque a presque chaque intervention, la présence des casernes de St-Éloi et -ou de
St-Jean-de-Dieu, etc, Cela est-il justement pour combler le manque d'effectifs ?
Il doit y avoir des coûts importants lié à cela, alors qu'on nous ventait les équipements et la nouvelle caserne ... sans compter les délais de réponses et les risques que cela entraîne ...
Un assureur de Québec m'a déjà répondu que tout cela ne changeait rien à mes primes, car
c'était un service sur appel avec des délais trop importants et du personnel moins formé ( selon lui )..., même si la caserne était à 2 km et qu'il y avait 2 bornes incendies à moins de 300 pieds.
Bonne chance au nouveau chef.
Le leadership fait toute la différence dans ce genre d'organisations .