L'inflation galopante créée par Justin Trudeau menace la qualité de vie au Québec
La hausse alarmante des produits de première nécessité, du gaz et des prix du logement inquiète le député de Montmagny—L’Islet—Kamouraska—Rivière-du-Loup, Bernard Généreux, qui presse Justin Trudeau de s’intéresser davantage à la politique monétaire, contrairement à ce qu’il avait affirmé il y a quelques mois. S’il ne le fait pas, Justin Trudeau dit en quelque sorte à la population québécoise qu’il ne se soucie pas de la hausse de leurs factures et de leur difficulté à rejoindre les deux bouts.
Effectivement, un récent article du Journal de Montréal faisait état de la plus importante hausse de l’inflation que le Québec a connue depuis 1991. Cela se traduit concrètement par une augmentation de 35 % du coût de l’essence, de 10 % du prix du porc, de 5 % des produits laitiers, de 22 % des huiles comestibles, etc.
«Résultat, une famille avec des revenus de 50 000 $ aura 2300 $ de moins dans ses poches à la fin de l’année», a calculé Pierre-Olivier Zappa, animateur de l’émission À vos affaires.
«Justin Trudeau doit prendre au sérieux la crise du coût de la vie à laquelle les Québécoises et les Québécois sont confrontés. Cela signifie qu’il doit présenter une mise à jour économique à l’automne, ainsi qu’un plan pour assurer une véritable croissance économique et pour protéger notre pouvoir d’achat. Contrairement au gouvernement Trudeau, les conservateurs du Canada sont prêts à se remettre au travail et à relever les défis économiques que rencontrera encore plus sérieusement la population dans la prochaine année», a affirmé le député Bernard Généreux.