Près de 500 000 $ pour améliorer la sécurité routière dans le Bas-Saint-Laurent
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, au nom de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, a annoncé, le 22 juillet l’octroi de 485 765 $ pour la région du Bas-Saint-Laurent en vue de projets d’amélioration de la sécurité routière.
L’argent a été alloué à 11 municipalités pour permettre la réalisation de leurs projets d’équipements ou d’amélioration de la route. Dans la région du KRTB 196 668 $ ont été versés à Saint-Modeste (74 526 $), Dégelis (35 662 $), Packington (34 338 $), Saint-Simon-de-Rimouski (17 775 $), Saint-Louis-du-Ha! Ha! (14 910 $), Saint-François-Xavier-de-Viger (12 618 $) et Saint-Elzéar-de-Témiscouata (6 839$).
«La sécurité routière est une priorité pour l’ensemble des communautés de notre circonscription […] En soutenant de telles initiatives, nous travaillons tous ensemble pour améliorer la sécurité routière de notre population», a mentionné Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup - Témiscouata.
Les montants versés aux organismes et aux municipalités admissibles proviennent du programme d'aide financière du Fonds de la sécurité routière (PAFFSR). Pour l’ensemble du Québec, c’est une somme record de 20 233 722 $ qui est versée à plusieurs municipalités et organismes afin de réaliser un total de 210 projets pour améliorer la sécurité routière et venir en aide aux victimes de la route.
Le PAFFSR s’inscrit dans la vision renouvelée de la sécurité routière du gouvernement du Québec. Dévoilé en août 2023, le Plan d’action en sécurité routière 2023-2028 présente 27 mesures pour favoriser la sécurité au bénéfice de tous en s’inspirant de la Vision zéro. Un investissement de plus de 180 M $ est réservé à la mise en œuvre des mesures de ce plan. Plus précisément, 96 des 210 initiatives financées cette année par le PAFFSR se situent dans une zone scolaire ou un corridor scolaire. Cette proportion des projets bénéficie directement à certains des usagers les plus vulnérables par l’aménagement de chemins plus sécuritaires.
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