«Bécanes de rêve» saison 2
Plongez dans l’univers d’Éric Gagnon
À la suite du succès rencontré lors de sa première saison, la série documentaire «Bécanes de rêve», qui constitue un «accès privilégié» dans le quotidien de mordus de la moto, est de retour à l’écran. De l’acquisition d’une Harley-Davidson “Sturgis” 1982 et la construction d’un nouveau garage, à la découverte de pièces rares et des rencontres improbables, on peut suivre à nouveau Éric Gagnon, un passionné de moto et d’histoire, originaire de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup.
Quelques jours seulement après son retour du Salon de la moto et des sports motorisés de Montréal 2025, qui se tenait du 28 février au 2 mars, Éric Gagnon est toujours sur un nuage. Les retours positifs qu’il a reçus au sujet des premiers épisodes de la série sont nombreux.
«Je ne pensais pas vivre ça une fois dans ma vie. On a vraiment eu une vague d’amour incroyable. Ça a été ultra gratifiant», exprime-t-il. «Des gens m’ont dit qu’ils étaient venus au salon parce qu’ils savaient qu’on était là.»
Lors de cet événement, lequel regroupe des centaines de passionnés de la moto, Éric Gagnon était accompagné de Samuel Guertin, l’un des protagonistes de «Bécanes de rêve» et propriétaire de Clockwork Cycle. Ensemble, ils ont échangé avec plusieurs personnes qui partagent cette même passion pour la restauration de motos vintage, et d’autres qui souhaitent la développer.
«J’ai eu des commentaires du genre : “Vous nous avez donné le goût de faire de la moto” et “Tu nous a donné le goût de collectionner des trucs”, mentionne Éric Gagnon. Ça a été vraiment le fun. On a été agréablement surpris par toute cette vague d’amour-là, cette vague de popularité-là, si on peut dire.»
UNE PASSION, QUATRE ARTISANS
À cette deuxième saison de «Bécanes de rêve» s’ajoute un nouveau protagoniste, Jimi Andrix. Il vient compléter le quatuor d’artisans motards, également formé d’Éric, Samuel et Charles-Élie Dumontier. Considéré comme un «réel génie de la mécanique», et doté d’un sens inégalé de l’observation, Jimi usine les pièces introuvables. Véritable touche-à-tout, il développe cette passion de la moto et de la mécanique léguée par son père.
Depuis le 6 mars, les téléspectateurs peuvent reconnaître certaines municipalités de la région. L’équipe de tournage de la production originale «Bécanes de rêve», TORQ Le Groupe, a suivi Éric Gagnon sur les routes du Nouveau-Brunswick, et au Témiscouata (Saint-Honoré, Cabano, Notre-Dame-du-Lac). Certaines images ont même été tournées à l’intérieur du concessionnaire de véhicules sports motorisés Roger A. Pelletier, à Témiscouata-sur-le-Lac.
C’est un rendez-vous devant la télévision tous les jeudis, à 21 h 30, pour visionner les prochains épisodes de la saison 2 de «Bécanes de rêve», à Historia.
Pour partager votre opinion vous devez être connecté.