Mario Dumont rencontrait ce vendredi une trentaine d’étudiants du Département de géographie de l’Université de Montréal, de même que deux de leurs enseignants.

Les universitaires complétaient ainsi un séjour d'une semaine dans notre région, du 22 au 29 août, à l’instigation de Pierre André, professeur responsable des études supérieures du département et directeur scientifique du Centre de développement de la recherche internationale en environnement.

Au cours de leur visite, les étudiants en géographie ont visité des municipalités du comté de Rivière-du-Loup et des environs et rencontré divers intervenants municipaux et organismes de développement, afin de discuter de développement régional.

Pour clôturer leur visite, une conférence de M. Dumont était à l'horaire vendredi à la Maison de la culture, suivie d’une période de discussion avec les étudiants. Ceux-ci ont pu entendre le député de Rivière-du-Loup parler d'enjeux économiques pour les régions rurales, de développement social et économiques, et des différences existantes au Québec entre les grands axes urbains et les territoires ruraux.

Mario Dumont fait part des défis majeurs des régions et des pistes de solution envisageables.

Le député de Rivière-du-Loup précise : « C’est avec plaisir que j’ai accepté leur invitation à échanger avec eux. Lors de la conférence, j’ai donc abordé différents sujets relatifs au développement, aux défis sociaux, économiques et environnementaux de notre région. Bien sûr, la géographie, entre autres l’éloignement des centres, la proximité du fleuve et la configuration des axes routiers de la région influencent fortement son développement. »

Par la suite, les universitaires ont pu questionner et échanger avec M. Dumont, tant de sa conférence que de leur séjour dans la région. Le député de Rivière-du-Loup conclut : « Ces expériences sont très positives et je me fais toujours un devoir d’y contribuer. Ces étudiants ont découvert notre région, sa dynamique, ses défis et ses opportunités. Cette visite et les intervenants rencontrés ont permis de contribuer à leur cheminement scolaire. Je suis certain qu’on leur a donné la piqûre du Bas-Saint-Laurent et l’envie d’y revenir comme touriste et, peut-être même un jour, comme résident d’une municipalité du comté. »