Deux légendes urbaines se propagent
La meilleure façon d’arrêter la propagation d’une légende urbaine, c’est de ne pas l’adresser à nos proches sans avoir vérifié la véracité de l’histoire qui est racontée. Il est possible de vérifier si une histoire est en fait une légende urbaine en consultant les sites qui les identifient.
Le site Internet de la Sûreté du Québec a d’ailleurs une section sur les légendes urbaines que les internautes peuvent consulter.
Certains auteurs de légendes urbaines signent faussement leur histoire du nom d’un policier pour donner plus de crédibilité à leur récit. C’est le cas d’une légende urbaine qui circule actuellement sous la signature d’un constable de la Gendarmerie royale du Canada. Cette légende prétend que des individus peuvent capter le code de verrouillage à distance de votre voiture et ensuite l’utiliser pour déverrouiller votre voiture et s’emparer des objets qui se trouvent à l’intérieur. Il s’agit d’une légende urbaine.
Une autre légende urbaine populaire actuellement laisse croire que des personnes distribueraient des cartes d’affaires enduites de drogue burundanga, une drogue dont l’odeur plonge les victimes dans une incapacité temporaire.
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