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Jean D’Amour en tournée au Témiscouata

durée 21 janvier 2013 | 15h33
  • Mario Pelletier
    Par Mario Pelletier

    Journaliste

    Dégelis – Lundi à Dégelis, le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Jean D’Amour, a poursuivi sa tournée dans les trois MRC de son comté. En plus de rencontrer des élus et des représentants d’organismes, M. D’Amour en a profité pour convier les médias régionaux à un point de presse.

    À Dégelis, le député a notamment parlé du motel industriel qui a besoin d’une mise à niveau de près d’un million de dollars.

    « Construire un bâtiment neuf, ça nous coûterait 1,5 M$ », a précisé Claude Lavoie, maire de Dégelis. Rappelons que la Société V.I.A. a décidé d’y installer son centre de récupération et de traitement de la tubulure d’érablière. Le projet, situé dans le bâtiment du 1208 route 185, créera près de 10 emplois. La Société V.I.A. n’occupera qu’une partie du motel industriel.


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    Les priorités de Jean D'Amour


    Mais il faut rafraîchir le bâtiment. On doit notamment y refaire l’électricité, la toiture et le revêtement extérieur. L’ensemble des rénovations est estimé à près d’un million de dollars. La Ville de Dégelis pourrait bénéficier d’une aide financière gouvernementale représentant 50% du coût des travaux pour mettre les installations à niveau dans le cadre du Programme d’infrastructures Québec-Municipalités.

    « Pour moi, un bâtiment d’une telle envergure et libre constitue une occasion d’affaires exceptionnelle », a indiqué le député.

    Toujours à Dégelis, M. D’Amour a mentionné qu’il demandera aux ministres du gouvernement du Québec de s’impliquer financièrement et au même niveau que l’an dernier dans le Festival de la chanson et de l’humour Le Tremplin, soit de l’ordre de 30 000 $ sous forme d’engagements discrétionnaires.

    AUTRES PROJETS

    Jean D’Amour a dit également espérer voir un développement en 2013 pour la communauté de Pohénégamook. La mairesse Louise Labonté a réitéré, à cette occasion, sa requête auprès du gouvernement à l’égard de l’aménagement d’un camping municipal.

    Du côté de Témiscouata-sur-le-Lac, plus précisément au niveau du projet de construction d’un complexe d’affaires et la rénovation de l’aréna du quartier Notre-Dame-du-Lac, le député a précisé qu’il devrait rencontrer cette semaine, à cet effet et pour parler du projet d’eau potable, le maire Gilles Garon. « Ça va bien », a souligné M. D’Amour.

    D’autres dossiers d’infrastructures suscitent également un intérêt particulier de la part des élus témiscouatains : la transformation et la réfection de l’église de Saint-Elzéar, la rénovation de la station scientifique Aster, le centre de loisirs de Rivière-Bleue, le terrain multifonctionnel de Packington et le projet en alimentation d’eau potable de Rivière-Bleue. « Depuis les dernières élections, force est de constater que le gouvernement néglige ce volet et met en péril des projets souhaités par les communautés témiscouataines », a commenté M. D’Amour.

    En terminant, le député a indiqué que les discussions entre la Fédération des producteurs acéricoles du Québec et les représentants de la Financière, visant un financement adéquat de la banque de sirop d’érable, se poursuivent. « Les choses semblent vouloir évoluer pour le mieux », a-t-il conclu.
     


    commentairesCommentaires

    2

    • LF
      Le fureteur
      temps Il y a 12 ans
      Cré Jean D'amour! Une machine à faire du vent qui parle énormément et qui fabule devant des projets artisanaux dont l'existence n'apportera rien à l'économie de la région. Ce ne sont pas des églises que le Témis a besoin mais des jobs....comme à Rivière du Loup. Aster! Intéressant mais juste assez pour garder le monde dans la Lune davantage en commençant par notre cher député lui-même. Des investissements privés, ça existe toujours et ce n'est habituelleent pas éphémères comme les activités subventionnées. Et pis comment faire quand on est pas du bon bord? Charest disparu, Monsieur D'Amour ne peut plus faire le lobbyiste (non reconnu) et obtenir subito presto les faveurs de son protecteur d'antan, même pas pour sa propre ville de RDL. Pourquoi ne pas ramener à NDDL l'usine du Breton qu'il a bien maraudé pour l'amener à RDL quand il était maire par exemple?
    • R
      rufus
      temps Il y a 12 ans
      je refuse tous ces commentaires volauvents, du blabla comme de coutume .
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