Vers un nouveau modèle d’affaires à Rivière-du-Loup
Rivière-du-Loup – Issu d’une réflexion engagée avec le Living lab en innovation ouverte (LLio) affilié au Cégep de Rivière-du-Loup, un tout nouveau modèle de développement économique novateur prend son envol sur le territoire de Rivière-du-Loup.
Une équipe composée à la fois d’élus et gestionnaires de la Ville travaille présentement en mode living lab avec des facilitateurs du LLio, à définir ce modèle d’affaires innovant et applicable aux réalités et paramètres de la Ville de Rivière-du-Loup, et ce, à partir de l’identification de modèles performants actuels, tant au Québec qu’ailleurs.
« Le plan de travail qui a été établi prévoit à la fois l’actualisation des modèles performants actuels, de la connaissance en développement économique régionale, des interrelations entre les différents intervenants locaux et de leurs attentes pour notre avenir économique, » affirme le maire de Rivière-du-Loup, Gaétan Gamache.
Ce vaste chantier mettra à contribution une multitude de partenaires de la même façon qu’il impliquera des consultations auprès de différents acteurs du milieu qui contribueront à définir ce nouveau modèle.
Le travail réalisé par ce comité mènera à déployer une approche de coconstruction avec le milieu louperivois, afin de mettre en place un modèle permettant d’accroître nos perspectives et notre efficacité en matière de développement économique, tant par l’innovation que par la synergie des interventions, tout en dotant Rivière-du-Loup d’un modèle d’affaires qui pourra être exportable par le LLio.
Rappelons que le living lab est un processus qui fait place à l’inventivité et qui rassemble des usagers de façon durable et significative à travers le développement et la réalisation d’innovations permettant de répondre à différentes problématiques. Ainsi, la création d’un environnement où l’innovation se concrétise à l’intérieur d’un processus de création conjointe avec les utilisateurs pourra contribuer à l’émergence de nouveaux produits et services de la ville.
17 commentaires
Y-a-t-il quelqu'un à la ville qui pourrait siffler la fin de la récréation?
En passant, trois employés reliés à ce projet, du Cégep de Rivière-du-Loup (André Gobeil, David Guimont et Rachel Berthiaume) ont participé à un congrès à Amsterdam.
Référence : http://llio.quebec/le-llio-sexporte/
J'espère que ça en valait le déplacement...
Un texte pour endormir et mélanger le bon petit monde qui n'en comprent pas le sens.
Des mots alambiqués afin de faire savant et de mêler le monde.
Monsieur Gamache!
Vous feriez plaisir à la très grande majorité si vous cessiez de dépenser l'argent qu'il n'a pas et qu'il n'aura pas.
Le temps de payer les factures est arrivé depuis longtemps et les éléphants blancs trop nombreux, inutiles.
Administrer ne signifie pas qu'il faille dépenser absolument.
À vouloir copier les grands comme le font les nains de Montréal et Québec, vous risquez de choquer Blanche Neige.
S'ils ont pris le temps de se promener devant les vitrines, ça risque de bouger dans les nôtres de la Lafontaine.
Avez-vous remarqué que tous ceux qui embarquent dans ce genre d'aventure abstraite n'ont jamais investi eux-même dans une entreprise?
Revenez sur terre pour vous occuper de votre ville qui prend l'eau.
C'est fini le temps des professeurs du CEGEP qui font de la "recherche"... Est-ce que l'on peut laisser ce "divertissement" aux professeurs d'université du 3e cycle...
Ce n'est pas le devoir d'un CEGEP de s'impliquer dans le développement économique. La raison d'être d'un CEGEP est de former des jeunes, soit pour le marché du travail ou pour l'université.
Même si dans la référence que je cite, le voyage est "financé par les revenus autonomes", ce voyage est intolérable! Les subventions que ce groupe ont reçu est un insulte à tout les contribuables.
Un générateur genre comme celui-ci (mais en anglais): http://pdos.csail.mit.edu/scigen/
Essayez avec des noms de famille quelconques et cliquez sur "generate", et lisez ce qui va sortir, c'en est tordant, tout comme cet article d'ailleurs!!!