Rivière-du-Loup - Lors de son congrès du 18 et 19 avril dernier, tenu à Rivière-du-Loup, une délégation de six personnes représentant l’Association hospitalière des Gypsothérapeutes de France a assisté aux assises de l’association québécoise.

En plus de participer aux activités de ce congrès, le président de l’A.H.G.T.F., Daniel Lugibihl, a également présenté deux conférences. La première avait comme sujet une immobilisation réalisée par les professionnels français dans le cadre de leur attribution par les médecins de leur milieu et une deuxième sur la situation de ses membres face à la législation du gouvernement français.

Dans cette dernière présentation, les congressistes présents ont pu comparer et reconnaître les similitudes et les différences entre les deux organisations, les deux gestions hospitalières et les deux gouvernements.

De plus, M. Lugibihl a souligné la participation de Gaston Pelletier lors des deux derniers congrès européens à Stuttgart en Allemagne en 2000 et 2007. Il a remercié le nouveau président de l’A.T.O.Q. de représenter son association à un niveau international et le président français a rassuré les membres du Québec sur leur représentativité outre-mer.

Finalement, M. Lugibihl a remercié l’organisation louperivoise de son accueil et de leur hospitalité. Il s’est engagé à retransmettre auprès des siens la complémentarité de nos deux organismes lié par jumelage.

Gaston Pelletier président

L’Association des techniciens et techniciennes en orthopédie du Québec a reporté à la présidence celui qui avait déjà dirigé la destiné de son association professionnel entre 1997 et 2003.

Gaston Pelletier.

C’est unanimement que les membres réunis en assemblée générale biennale ont replacé leur confiance en celui qui avait amené une stabilité organisationnelle à ce regroupement des spécialistes des immobilisations orthopédiques au Québec.

Lors de son allocution d’acceptation, M. Pelletier a déjà annoncé qu’un virage devrait s’enclencher pour faire de son association un leader dans son domaine. De nouveaux défis s’annoncent tant au niveau de la formation que de la reconnaissance de son créneau unique par les instances hospitalières et médicales.