La renaissance de Chez Kojak
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Nouveau concept comprenant des spectacles de 21 h 30 à 23 h 30, nouvelle décoration, une scène qui deviendra dans la nuit une piste de danse, nouveaux systèmes d’éclairage et de son, autant de changements qui font de Chez Kojak un établissement de spectacles qui n’a rien à envier à ceux de plus grands centres urbains.
« Depuis cinq ans environ, nous connaissions une baisse de la clientèle. Les gens fréquentent de moins en moins les bars, ils font des partys à la maison », de mentionner M. Dickner. Il a précisé qu’en 2010, moins de 20 % de la consommation de bière se fait dans les bars alors qu’il y a plusieurs années elle représentait 50 %.
Parmi les changements, on note le système de son, l’éclairage et la décoration axée sur les courbes.
Photo : Mario Pelletier
Doris Dickner compte donc sur la présentation de spectacles en soirée, de 21 h 30 à 23 h 30, et de la danse pour attirer une clientèle plus âgée. Jusqu’à 0 h 30 environ, il y aura de la musique davantage en lien avec le début de la soirée. Une fois par mois, ce sera la présentation d’un spectacle de plus grande envergure alors que les autres soirs, on verra des artistes régionaux.
C’est à compter de 0 h 30 que la discothèque reprendra ses airs plus familiers pour la clientèle plus jeune. À cet effet, on a triplé la surface de la piste de danse qui est maintenant d’une capacité de 200 personnes. Chez Kojak peut accueillir en même temps 500 clients.
L’établissement sera ouvert les jeudis, vendredis et samedis de 20 h 30 à 3 h du matin. Jusqu’à 23 h, le prix d’entrée sera de 3 $. Par la suite, il en coûtera 5 $. Le vestiaire est inclus dans la tarification. Des événements spéciaux pourront également être présentés le mercredi et le dimanche.
La discothèque Chez Kojak a ouvert ses portes il y 18 ans dans le bâtiment qui hébergeait auparavant la Brasserie Piloup. Plus de 30 personnes travaillent Chez Kojak. Doris Dickner, également propriétaire du bar Le Triangle et du bistro L’Intercolonial au centre-ville de Rivière-du-Loup embauche une centaine d’employés dans les périodes les plus achalandées.
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