Sursis pour les travailleurs d'Hydro-Québec à Dégelis
La société d'État prévoyait annoncer la fermeture l'atelier mardi, pourtant ouvert il y a trois ans seulement, prétextant qu'il n'était plus rentable.
Hydro-Québec entrevoit en effet une baisse des coûts des disjoncteurs neufs, rendant par le fait même obsolète l'atelier de remise à neuf de Dégelis, l'un des trois du genre au Québec.
Le maire de Dégelis, Claude Lavoie, n'hésite pas à donner tout le crédit à la vice-première ministre Nathalie Normandeau, pour l'obtention de ce sursis.
« J'ai su lundi sur l'heure du souper qu'il n'y aurait pas d'annonce mardi matin. Ça a été reporté. Maintenant, on est malheureux qu'il y ait des élections parce qu'on avait un député-ministre qu'on aimait énormément. Par contre, je pense que les élections actuelles vont faire qu'on va peut-être faire attention au comté de Témiscouata », a indiqué M. Lavoie en entrevue à Radio-Canada.
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