Hunger Games : L’embrasement
Rivière-du-Loup - Hunger Games, c’est le nouveau Harry Potter. C’est le nouveau Twilight. Hunger Games, c’est le phénomène de l’heure dans le monde des adaptations cinématographiques. Pour ses trois premiers jours de sortie en salle, c’est un peu plus de 161 millions de dollars en recette au box-office nord-américain qui a été récolté… une excellente performance pour une sortie en novembre.
Le Président Snow est en furie. Katniss Everdeen et Peeta Mellark sont non seulement parvenus à contourner l’issue des 74e Hunger Games, mais leur victoire fait naitre un soulèvement au sein des Districts. Alors que s’amorce la tournée des Vainqueurs, il menace la famille de Katniss si elle ne parvient pas à la convaincre, en plus de la population, de son amour pour Peeta.
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Alors que cet amour devait calmer la tension dans les Districts, l’espoir et la rébellion prennent de plus en plus d’ampleur. Snow et son nouveau maitre des jeux, Plutarch Heavensbee, planifient les Jeux de l’expiation, afin de souligner le 75e anniversaire des Hunger Games. Katniss et Peeta devront une fois de plus combattre pour leur survie face aux survivants des autres Districts. Seul l’un d’eux pourra survivre. La chance sera-t-elle de nouveau de leur côté?
J’avais réellement hâte à la sortie de ce deuxième film de la saga Hunger Games. J’avais adoré le premier film, alors je savais que l’histoire m’intéresserait encore. Je m’étais attachée à Katniss et Peeta et bien aimé le contraste entre l’exubérance du Capitole et le climat de tension et de misère dans les Districts. Entre le premier et le deuxième film, je me suis retenue de lire la série afin d’avoir, de nouveau, la surprise de découvrir l’histoire.
Cette fois-ci, comme l’univers de Panem m’était familier, le visionnement était d’autant plus agréable et j’ai juste hâte au prochain film, car évidemment, la fin nous laisse sur une envie d’en savoir plus. Ne reste plus qu’à résister à la tentation de lire les livres afin de savoir ce qu’il adviendra de Katniss et Peeta.
1 commentaires
On pense aux illustrations des livres d’aventures (Jules Verne en particulier) ou au célèbre tableau de Caspar David Friedrich.
Avec ces nuages qui lui donnent des ailes, elle apparait de plus comme une figure mythologique, une véritable Diane moderne (ou Artémis comme disent les Grecs).
Pour lire la critique de l'affiche du Hunger Games, c'est par ici http://www.lecritiquedepub.com/hunger-games/