Le coin Fraser-Lafontaine embelli grâce à une murale
Rivière-du-Loup – Le jeudi 10 juillet dernier, Espace Centre-ville inaugurait la nouvelle murale créée en collaboration avec le regroupement d'artistes Voir à l'Est art contemporain qui embelli le paysage au coin des rue Lafontaine et Fraser.
Cette œuvre permanente, située sur le mur de soutènement de l'entreprise Piscines LouDo, s'insère dans la démarche de dynamisation du centre-ville de Rivière-du-Loup. La chargée de projets Espace Centre-ville en place depuis deux ans, Marie-Hélène Collin, affirme que la murale est un pas de plus dans le grand projet de revitalisation du centre-ville afin de le rendre majestueux, invitant et vivant.
Le concepteur de l'oeuvre et président de Voir à l'Est, Michel Asselin, explique que la murale est un clin d'oeil à la famille, à d'autres artistes et à Rivière-du-Loup. Pour réaliser la murale, M. Asselin a obtenu l'aide des artistes Denis Beauséjour et Louis-Pier Dupuis-Kingsbury.
Le projet représente un investissement de 6 000$ incluant les matériaux, la travail des artistes et les fleurs. À cela s'ajoute le coût de la main d'oeuvre et la coordination. Les collaboration techniques ou financières de Voir à l'Est, Botanix, représenté par Raymonde Côté, la société d'horticulture de Rivière-du-Loup, représentée par Ernest Carbonnenau, la SADC, la Ville et Piscines LouDo, ont permis la réalisation rapide de cette œuvre durable. Le maire Gaétan Gamache et le conseiller Mario Bastille était aussi présents.
17 commentaires
La chargée de projet s'occupe à garder son emploi, c'est à ça que ça serre la taxe pour les commerçants, ouf!
Pour ma part, j'aurais investi le $6000 ailleur
Si vous attaquez personnellement la chargée de projet, assumez et signez votre billet.
Plus de 10 000$ pour une visibilité négligeable !!! à 10 000$ ceci correspond à la cotisation ( 250$ ) de plus de 40 marchands
Maintenant qu'on s'est occupé du mur, Est-ce qu'on va s'attaquer à l'image de laisser-aller via le parc de la Pointe? Ça fait bientôt 8 ans que les nombreux résidents et touristes qui circulent à la Pointe contournent le sentier de marche qui n'est pas entretenu. (On sait que celui-ci a été abimé en 2006 par les hautes marées). Le fleuve demeure LA plus belle attraction de la Ville. Alors, comment expliquer que le secteur soit aussi délabré? Les affreuses clôtures de sécurité sont devenues permanentes et les sentiers s'effondrent sans que personne ne s'étonne. Vraiment triste!
Danielle N.
Tout d'abords, rectification:
Cela a été financé par le comité Espace Centre-ville, c'est-à-dire le regroupement +/- démocratique des commerces de la rue Lafontaine. Il est donc faux de dire que ce sont les citoyens de RDL qui paient cette note salée.
Les questions maintenant:
1. À qui appartient le mur?
2. Quelle est la date de construction du mur et quelle est sa durée de vie restante? (Vu le nombres de fissures et de barre d'acier, ça me semble une question pertinente vu que je ne suis pas ingénieur civil)
3. Dépendemment de la réponse au point 2., combien aurait coûté de re-peinturer le mur avant d'installer les «oeuvres»
4. Cette zone fait-elle vraiment partie du «centre-ville»? Il me semble qu'on est rendu pas mal en bas de la côte...
5. Est-ce une «oeuvre» durable, qui va passer les rigoureux hivers québécois sans ternir?
6. Quel aurait été l'estimé pour une murale comme il y avait avant, plus haut sur la même rue?
Je pense que vous mélangez les pommes et les oranges... Vous êtes carrément hors propos en apportant le sujet des problèmes à la Pointe. Il est question de l'embellissement de la rue Lafontaine.
Dire que tout ce bla! bla! est toujours et encore de critiquer la taxe des commerçants de la rue Lafontaine...
Désolé pour les mécontents, mais je crois que nous les clients
n'avons pas à être témoin de votre conflit.
Bâtir sur le sable ne donne jamais un bon résultat; mais le faire sur une surface adéquate ne peut qu'améliorer les chances d'une réussite à long terme.
Or ici, le travail a été fait sur un fond de ciment qui se désagrège tout en ayant probablement un taux d'humidité trop élevé qui aura pour effet de se faire soulever la peinture très tôt, dès l'automne venu.
Toutes les surfaces peuvent accommoder des murales en autant que celles-ci soient faites avec les produits adéquats, mais un mur en décomposition ne pourra en retenir aucune et je pense que c'est le cas ici.
Enfin! Le lieu, l'emplacement y est pour beaucoup dans la "rentabilité" d'une œuvre et pour ce faire, elle doit pouvoir être vue facilement par beaucoup de gens. Or ce coin de Lafontaine s'y prête difficilement et elle risque plus qu'autre chose de provoquer par l'inattention des observateurs des accidents qui peuvent être mortels comme cette intersection l'a prouvée dans le passé.
Et pour ceux qui se disent frustrés de ne pas voir le ou les noms de ceux qui signent ces commentaires, sachez qu'à Rivière du Loup, il n'est jamais bon de s'identifier car la vengeance est douces aux cœurs de certains qui aiment abaisser en personnalisant le débat.
Encore plus vrai si vous êtes un "étrange" à qui la Ville n'appartient pas, même après plus de 10 années en place.
En conclusion!
Bravo pour la murale, mais elle ne durera pas longtemps et l'argent aura été dépensé probablement pour rien malgré les bonnes intentions de ses auteurs.
qui utilise un support très urbain en béton; rien ne sert de masquer ce mur; il est ce qu'il est; le matériel utilisé (ce n'est pas de la peinture) saura bien résister plusieurs années et bien vieillir. Bravo à Michel Asselin pour l'originalité de sa représentation de la famille active et pour l'accent mis sur de lieux significatifs dans l'imaginaire des Louperivois.