«Paddington»: drôle et attachant
Rivière-du-Loup - Coiffé d’un gros chapeau rouge et armé d’un sandwich à la marmelade, l’ourson Paddington débarque sur les écrans avec sa maladresse et sa bonne humeur afin de réchauffer un mois de janvier passablement frisquet.
Originaire des profondes forêts du Pérou, Paddington entreprend un grand voyage clandestin jusqu’à Londres avec pour seul bagage une valise remplie de marmelade et une étiquette à son cou indiquant «S’il-vous plait, prenez soin de cet ours. Merci.»
Tentant en vain de trouver quelqu’un d’accueillant pouvant lui donner un toit, l’ours se retrouve à la gare de Paddington lorsqu’il fait la rencontre de la famille Brown. À contrecœur, monsieur Brown l’héberge dans son grenier pour la nuit, le temps de lui trouver un refuge et de retrouver un explorateur britannique ayant jadis visité l’oncle et la tante de Paddington et qui pourrait certainement accueillir l’ourson. Mais la mission se révèle être plus périlleuse et entrainante que prévu.
BANDE-ANNONCE
Les aventures de Paddington prennent vie à Londres en 1956, alors que Michael Bond rentre chez lui un soir de Noël. Alors qu’il se trouve dans un magasin, il voir un petit ours en peluche, seul, dans le magasin. Il décide de l’acheter et de l’offrir à sa femme. Ensemble, ils l’appellent Paddington, comme la gare près de laquelle ils vivent. Michael Bond se met alors à écrire des histoires à son propos et se retrouve rapidement avec un livre. Au fil des ans, 22 albums viennent s’ajouter au premier sorti en 1958, une traduction dans 40 langues et plus de 35 millions de livres vendus dans le monde.
Aller au cinéma voir le film «Paddington» fut pour moi un beau retour à l’enfance. Les aventures de l’ourson anglais ont accompagné ma jeunesse et c’est avec un plaisir assuré que j’ai vu renaitre l’ourson dans la plus récente œuvre à paraitre à son sujet. Drôle et attachant, Paddington saura certainement conquérir votre cœur.
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