Patrimoine industriel : atout culturel ?
Rivière-du-Loup - La Société d’histoire et de généalogie reçoit, le jeudi 23 avril, Max D’Amours. Dans la région, il est connu comme celui qui a planifié la relance de l’entreprise familiale centenaire Massé, située à Saint-Hubert. Ce fut d’ailleurs le sujet d’une première conférence donnée à l’intérieur de la saison 2012 de la Société.
Pendant presque 30 ans, il a été chercheur et professeur à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ainsi, il a établi une sérieuse réputation dans le domaine de la gestion publique, la performance des organisations et l’évaluation des services récréatifs et culturels qui s’est exprimée par la rédaction de nombreux articles et des conférences données au grand public.
Auteur d’un ouvrage fouillé sur le patrimoine industriel Massé qui sera publié dans les prochaines semaines, il démontre comment ce patrimoine couronné d’une histoire familiale de plus de 150 ans constitue un trait culturel de la communauté de Saint-Hubert. Max D’Amours propose une réflexion sur les notions de patrimoine et de culture. Comment le patrimoine matériel et immatériel peut-il devenir un outil de développement ? Laissant une large place aux échanges avec les personnes présentes, différents questionnements liés au patrimoine et à la culture seront abordés lors de cette causerie.
Tous sont donc conviés à venir rencontrer Max D’Amours, le jeudi 23 avril à 19 h 30 à la Maison de la culture de Rivière-du-Loup. Nul doute qu’il saura susciter chez les participants un grand intérêt.