«Tueur à gages: Agent 47»: quand Hitman prend vie
Rivière-du-Loup - «On détermine ce que l’on est par ce que l’on fait», voilà la maxime de la plus récente adaptation d’un jeu vidéo au grand écran, «Tueur à gages: Agent 47».
L’Agent 47, c’est Hitman, le personnage du populaire jeu vidéo du même nom développé par Eidos et IO Interactive vendu à plus de 8 millions d’exemplaires depuis sa sortie en 2000.
Le tueur à gages, facilement reconnaissable à son crâne rasé et son code à barres tatoué derrière la tête, reprend du service dans une mission visant à priori à retrouver et protéger le père de Katia Van Dees, le Dr Litvenko.
Ce dernier est le scientifique derrière le programme des agents, des assassins génétiquement modifiés afin qu’ils soient plus astucieux, plus forts et plus rapides, et qu’ils n’éprouvent ni peur ni remords. Le Dr Litvenko, en cavale depuis près de 20 ans, est menacé par le Syndicat International qui souhaite le capturer afin de mettre sur pied une armée de tueurs impassibles, plus impitoyables et résistants que la première génération d’agents.
Et c’est tantôt avec ses poings, tantôt maniant armes et poignards que 47 veillera à remplir son contrat. En 2007, les studios 20th Century Fox avaient fait une première tentative pour séduire les adeptes du jeu vidéo en produisant un film mettant en vedette Timothy Olyphant dans les traits de l’agent 47. Mais le film avait reçu un accueil mitigé de la part des critiques et la maison de production avait mis sur la glace son projet de suite. Cette fois-ci, elle mise sur les talents l’acteur Rupert Friend pour camper le rôle du célèbre Hitman.
Accompagné par une trame sonore efficacement entrainante et une réalisation sur le qui-vive rappelant l’univers de la réalité virtuelle, «Tueur à gages: Agent 47» donne un nouveau souffle à son prédécesseur. Rupert Friend et Hannah Ware interprètent avec conviction l’agent 47 et Katia Van Dees et s’imposent avec force dans cette reprise de 2007.
Si certains critiquent le fait que ce nouveau film ne soit qu’une réplique du premier présenté, les cinéphiles n’ayant pas visionné le précédent opus n’auront aucune difficulté à apprécier celui-ci!
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