Une jeune femme brûlée au deuxième degré
L'accident s'est produit en début de journée. Selon le copropriétaire de l'Auberge du Portage, Alexandre Defoy, c'est une mauvaise réaction à la combustion de la cuisinière au gaz propane qui est à l'origine de l'incident. « Une telle chose effraie un peu tout le monde, mais elle (la jeune femme) va bien », souligne M. Defoy.
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La jeune fille souffre de brûlures au premier et deuxième degré. Elle a immédiatement été prise en charge par les paramédics et conduite au Centre hospitalier régional du Grand-Portage. Selon nos informations, elle y a rencontré un spécialiste de ce type de blessure. Elle est toujours au CHRGP.
Contrairement à la croyance populaire, les brûlures au deuxième degrés sont les plus douloureuses. « Dans le cas des brûlures au troisième degré, les terminaisons nerveuses sont atteintes ce qui entraîne une perte de sensibilité. Par contre, les risques d’infection sont plus importants », explique le relationniste de la Coopérative des paramédics du Grand-Portage, Joël Dubé.
Dans le cas de la victime, il s’agit principalement de brûlures au premier et deuxième degré aux mains et au visage. Comme l’accident s’est produit en milieu de travail, la CSST pourrait être appelée à enquêter. La SQ confirme déjà qu’il n’y a aucun élément criminel lié à l’incident.
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