Délit de fuite : un suspect fait face à la justice
13 octobre 2010 |
16h51
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Pelletier-Fournier a été accusé de « défaut de s'arrêter lors d'un accident » et de « conduite dangereuse causant des lésions ». Le jeune homme a été remis en liberté sous engagement. Il a dû verser un dépôt de 1 000 $ et un montant de 2 000 $ sans dépôt.
De plus, Jean-François Pelletier-Fournier doit se soumettre à de nombreuses conditions. Il doit notamment garder la paix et l’ordre public, être présent devant la cour lorsque c’est requis et il lui est interdit de communiquer avec la victime.
Il lui est strictement défendu de conduire tout véhicule à moteur sauf pour se rendre, revenir, exercer son travail et revenir à son domicile le jour même. Le jeune homme doit revenir devant le tribunal le lundi 25 octobre prochain.
Commentaires
4 commentaires
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G
Georges
Il y a 14 ans
Encore un qui va s'en sortir?
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M
Michelle
Il y a 14 ans
ha , notre beau système de justice québécois ! lui il a encore le droit de conduire , de travaillé , d être avec sa famille! la victime dans tout ca ???? a l'hôpital dans un état grave ...
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C
christine
Il y a 14 ans
Et si c'était votre fils qui avait causer cet accident et qui avait pris la fuite suite à une crise de panique???
est-ce que vous le rejeteriez? Ce genre d'accident peu arriver à chacun de nos enfants, ils peuvent la victime soit en se faisant frapper ou en étant le conducteur,les conséquences sont importantes pour les deux. reflechissez bien avant de condamner,ça aurait peut-être pu vous arriver un jour!
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J
Jodi
Il y a 14 ans
Personne ne parle de rejeter quiconque. On parle plutôt d'un système de justice inadéquat qui protège plus les criminels que les victimes... Conduire en irresponsable et de manière dangereuse au point de frapper quelqu'un sur le trottoir, c'est déjà grave. Mais se sauver en plus, c'est inacceptable et inexcusable. Tout citoyen doit répondre de ses actes. Et les conséquences se doivent d'être à la hauteur de l'acte commis. Hélas, au Québec, ce n'est pas le cas.
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