Grand excès de vitesse sur la route 185
Deux autres autopatrouilles se sont alors lancées à sa poursuite. Le relationniste Claude Doiron de la SQ raconte : « Selon sa version, le conducteur qui filait à vive allure n'a jamais vu le premier patrouilleur avant de devoir ralentir à l'arrière d'un camion. C'est à ce moment qu'il a aperçu les gyrophares et que c'était pour lui. »
C'est au moment de l'interception que les deux autres véhicules autopatrouilles sont arrivés sur les lieux. Selon la SQ, l'individu a collaboré avec les patrouilleurs. Il s'est vu remettre un constat d'infraction en plus de voir son véhicule saisi pour sept jours.
À noter qu'une bonne distance séparait le véhicule du chauffard à la première autopatrouille lorsque cette dernière s'est signalée par l'activation de ses gyrophares. Toutefois, l'histoire ne dit pas s'il s'agit d'un aveuglement volontaire.
Quant au GEV, il nous a été impossible de connaître la vitesse du contrevenant. La SQ se refuse maintenant à rendre publique cette information. « On s'est rendu compte dans les districts, qu'il y avait une surenchère en matière de GEV auprès de conducteurs. Comme s'il y avait un défi à se faire prendre avec le GEV le plus important », explique le sergent Claude Doiron.
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