Les finissants en Techniques d’intervention en loisir en stage dans tout le Québec
Rivière-du-Loup - Depuis le début du mois de janvier, vingt-cinq étudiants de troisième année du programme Techniques d’intervention en loisir du Cégep de Rivière-du-Loup se retrouvent dans plusieurs régions du Québec pour effectuer leur stage d’intervention, le dernier de leur programme de formation.
Ces finissants se retrouvent ainsi dans six régions du Québec, soit le Bas-Saint-Laurent, Chaudière-Appalaches, Capitale nationale, Saguenay-Lac-Saint-Jean, Centre-du-Québec et l’Estrie. Cette répartition géographique reflète bien d’où proviennent les étudiants.
Huit de ces étudiants effectuent présentement un stage dans la région : Katherine Girard à l’École secondaire de Rivière-du-Loup, Sarah Durocher-Bernier au Collège Notre-Dame, Alexandre Bossinotte Deschênes au Centre d’entraide l’Horizon, Kathy Chamberland au Service des loisirs de La Pocatière, Samuël Laforest à l’École internationale Saint-François-Xavier, Vanessa Soucy au Service des loisirs de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup, Maxime Pelletier au Salon de quilles de Saint-Pascal et Fannie Tremblay au Service loisirs, culture et communautaire de la Ville de Rivière-du-Loup.
Les stagiaires se retrouvent sur le terrain pour la session d’hiver, pendant quinze semaines, afin de compléter de façon pratique et concrète leur formation. Les milieux de stage sont très diversifiés. En milieu municipal et communautaire, on retrouve les étudiants dans des services municipaux de loisir, dans une maison des jeunes, une ressource alternative en santé mentale et un organisme d’éducation populaire en action communautaire. En milieu scolaire, ils font leur stage dans une école primaire, des écoles secondaires, un centre de formation professionnelle et une université. En milieu récréotouristique, ils travaillent en centre vacances familles, centre de plein air et entreprise offrant des séjours en plein air, l’initiation en traineau à chiens, etc. Enfin, quelques-uns des stagiaires interviennent dans des milieux privés ou événementiels soit, salon de quilles, centre d’amusements (jeux gonflables, fêtes, etc.), et un organisme qui met en place des courses de longue distance – de 1 km au demi-marathon – triathlon, duathlon, pentathlon, etc. Ces divers milieux de stage reflètent bien la diversité des métiers possibles pour nos futurs techniciens en loisir.
Le programme Techniques d’intervention en loisir est une formation très en demande auprès de plusieurs employeurs. Le taux de placement des étudiants en Techniques d’intervention en loisir est excellent. Selon la Relance au collégial en formation technique 2012 du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, 10 mois après la fin de leurs études, 95,5% des finissants étaient en activité soit 68,5 % des diplômés en emploi et 27 % à la poursuite d’études, notamment à l’université.
Pour plus d’information, on peut consulter le site Web à http://loisir.cegep-rdl.qc.ca.
2 commentaires
Qu'un moyen pour garantir du travail aux enseignants de ce programme.
Et comment faire pour contrôler la qualité des stages, il y en a d'autres lors des sessions antérieures,lorsque ceux-ci se font loin de RDL?
Des statistiques?
Combien d'admis dans une cohorte et combien de diplômés après les trois années d'études minima?
Certain qu'en ce temps difficile dans les budgets de nos municipalités que les emplois doivent se faire de plus en plus rares.
Et pourquoi étudier en loisirs quand d'autres programmes généraux existent pour poursuivre à l'Université après deux années d'études seulement?
Seuls les profs du programme sont assurés d'une belle paie et d'un bon plan de retraite.