L’Association des familles D’Amours cesse ses activités
Le conseil d’administration de l’Association des familles D’Amours a pris la décision de cesser ses activités. Les actifs de l’organisation ont été transférés, le 19 octobre, à la Société d’Histoire et de Généalogie de Trois-Pistoles (SHGTP).
Le recrutement de membres et les règles concernant protection des renseignements personnels ont rendu difficile la poursuite des activités généalogiques et historiques en lien avec l’histoire des D’Amours, ce qui a poussé le conseil d’administration à prendre cette décision.
L’association a été fondée à Trois-Pistoles en 1996. Elle a publié un grand nombre d’articles pendant 26 ans par l’entremise de son bulletin de liaison Le Sanglier. L’organisation a également tenu plusieurs rassemblements dans différentes régions du Québec et au Nouveau-Brunswick. Deux ouvrages généalogiques majeurs ont aussi été publiés au fil des années.
«La décision de transférer nos actifs à la SHGTP allait de soi, puisque nos archives y sont déposées depuis plusieurs années; c’est un partenariat naturel avec une société qui partage la même mission, les mêmes objectifs et qui a pignon sur rue à Trois-Pistoles», a affirmé Bernard D’Amours, vice-président de l’AFDA.
Les personnes désireuses de consulter les archives des D’Amours pourront le faire au local de la SHGTP à Trois-Pistoles. Le site web demeura aussi accessible : https://familles-damours.org/.
Rappelons que la majorité des D’Amours en Amérique descendent de Mathieu D’Amours, arrivé en Nouvelle-France en 1651, marié à Marie Marsolet. Deux autres branches de D’Amours sont aussi présentes au Québec, soient les D’Amours dit Poitevin et les D’Amours dit du Clan des Îles. Les Courberon, Courbron et les Colburn, aux États-Unis, sont également des D’Amours.
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