Cette semaine exceptionnellement, la chronique doit faire l’impasse sur son préambule. Je dois me rendre au lancement de l’opération Boule de neige. J’aurais bien aimé vous parler de l’histoire, en Angleterre, de cette Anglaise qui a été condamnée à 8 semaines de prison pour ses ébats sexuels trop bruyants.
 
Une condamnation qui a fait suite au non-respect d’une ordonnance qui l’obligeait à mettre une sourdine sur ses performances vocales lors de ses ébats sexuels avec son mari. Paraît-il que le voisinage n’en pouvait plus. Selon le Berry Républicain, les voisins ont parlé de bruits « surnaturels ». Je suis mort de rire! Ils n’arriveraient même plus à entendre le son de leur télé!

Le juge à qui on a fait entendre un extrait sonore a dit comprendre les voisins de se plaindre. Sans farce! Le bruit de son « plaisir » a été mesuré jusqu’à 47 décibels... mais à partir d’un appartement voisin! À titre indicatif, un iPod à puissance maximale fait 90 décibels. Malheureusement, je n’ai pas la photo de la dame en question, ni l’enregistrement… de cette Castafiore du sexe.

C’est drôle, car à l’époque où j’étais étudiant à l’UQTR, j’ai été confronté à quelque chose de semblable. Par un chaud soir de septembre, au beau milieu de la nuit, mon coloc m’avait réveillé pour me dire, et je cite : « heille, je pense qu’y a une mouette en train d’agoniser sur le balcon, veux-tu aller voir? ». Bonjour la bravoure! En fait de mouette, c’était la voisine habitant de l’autre côté de la rue qui retrouvait son amoureux. Essayez de vous rendormir après ça… J’espère que l’anecdote vous aura fait oublier la grisaille qui sévit actuellement. Bon, c’est l’heure de la conférence, voici donc nos zéros de la semaine.

CANNABIS
Le samedi soir 23 janvier, la SQ effectue une patrouille statique à Saint-Cyprien. Le policier intercepte une voiture avec deux individus à son bord. Le policier à la main chanceuse puisque le passager s’avère être recherché. Mieux encore, au moment de l’arrestation, l’individu, bien connu des services policiers, est trouvé en possession d’une petite quantité de cannabis. Je ne sais pas s’il a passé « Go », mais ce que je sais, c’est qu’il a été conduit au centre de détention de Rimouski. C’est un homme âgé de 35 ans, résidant à Saint-Paul-de-la-Croix.

MENACES
Le mardi 26 janvier vers 12 h 20, les policiers du Service de la sécurité publique ont procédé à l’arrestation, au coin des rues Lafontaine et Fraser, d’un individu âgé de 27 ans de Rivière-du-Loup. Ce dernier venait de proférer des menaces alors qu’il était armé d’une arme blanche au 9, rue Lafontaine, c’est au Carrefour d’initiatives populaires.

Les gens de l’endroit ont très bien réagi en verrouillant les portes et en communiquant avec le 911. L’individu de 27 ans est donc demeuré à l’extérieur. Au moment de l’arrestation, il a récidivé en proférant des menaces de mort envers les policiers. Il est présentement détenu au service de police et sera rencontré par les enquêteurs.

Les accusations qui seront probablement déposées sont voies de fait armées, avoir proféré des menaces, intimidation envers les personnes du système de justice et bris de probation. Au moment d’écrire ces lignes, les policiers et enquêteurs sont sur le terrain en train de rencontrer les témoins.

MENACES 2
Un autre cas de menace s’est produit le samedi 23 janvier. Un homme de 67 ans, aussi de Rivière-du-Loup, a été arrêté après avoir proféré des menaces de mort envers sa conjointe. Ce dernier a été conduit au centre de détention de Rimouski.

VIOLENCES
Toujours le 23 janvier, un individu de 40 ans de Rivière-du-Loup a été arrêté après s’être livré à des voies de fait sur sa conjointe. Ici je me mords les lèvres pour ne pas écrire le fond de ma pensée pour décrire ce que m’inspire ce genre de « môsieur »… L’homme a été conduit au centre de détention de Rimouski.

VOL
Le vendredi 22 janvier, un individu de 42 ans connu des milieux policiers a été arrêté à la suite d’un vol à l’étalage. L’individu a été conduit au centre de détention de Rimouski.