Le Jour du Souvenir pour 50 élèves de l’école Notre-Dame-du-Sourire
Le Jour du souvenir, plus de 13 millions de personnes portent le coquelicot, symbole démontrant qu’elles se souviennent des soldats qui ont combattu un principalement dont durant la Grande Guerre, de 1914 à 1918.
La cérémonie comprenait l’historique du Jour du Souvenir et du coquelicot, la mise en place des drapeaux, l’inspection, la sonnerie au mort, le réveil, l’acte du souvenir, le dépôt d’une couronne et l’hymne « O » Canada. La cérémonie s’est tenue au monument situé en face de l’église de Saint-Épiphane.
À cette occasion, le président de la Légion Canadienne de Rivière-du-Loup, Marcel Raymond et le commandant du district du Bas-Saint-Laurent, Jean Thériault, ont procédé à l’inspection des élèves en présence du personnel enseignant, de membres de la Légion Canadienne de Rivière-du-Loup et des Fusiliers du St-Laurent.
La cérémonie du Jour du Souvenir a été suivie de la visite de l’exposition militaire présentant des militaires de la région de Rivière-du-Loup qui ont combattu au cours de la Grande Guerre, d’artéfacts, de pièces d’équipements et d’uniformes portés à cette époque.
La cérémonie du jour du Souvenir a été suivie de la visite de l’exposition militaire présentant des militaires de la région de Rivière-du-Loup qui ont combattu au cours de la Grande Guerre, d’artéfacts, de pièces d’équipements et d’uniformes portés à cette époque.
L’activité s’est poursuivie par un travail pédagogique où les étudiants ont pu s’exprimer sur leur perception de la Grande Guerre et des autres conflits en général ainsi que sur les missions de paix. Des textes bien rédigés et lus avec talent et qui ont étonné les vétérans qui ne s’attendaient pas à ça. Tout en se disant contre la guerre, ils ont rendu hommage à nos soldats qui ont combattu dans différent conflits.
Le dépliant remis à chaque participant contenait un projet de Pierre Mathieu « Sur la pointe des mots » publié par Les Éditions les Plaines : Quand je serai grand, j’inventerai un produit à effacer la guerre, la peur, la faim, à effacer les fusils, le noir, le bruit. Puis, j’inventerai une peinture indélébile pour écrire sur les murs des villes le mot PAIX…À Jamais »!
Que voilà la véritable leçon de la commémoration organisée en collaboration avec la direction et le personnel enseignant de l’école Notre-Dame-du-Sourire. Y voir la moindre glorification de la guerre serait injuste pour tous les participants.
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