Stephen Harper félicite Guillaume et l'équipe du relais
« Une place au podium des Jeux olympiques exige des années de discipline, de concentration et de détermination, a déclaré le premier ministre. Les Canadiennes et les Canadiens ont été enthousiasmés de voir le travail acharné et le dévouement de son équipe couronnés par une médaille d’or. »
Guillaume Bastille
Né à Rivière-du-Loup et ayant résidé de nombreuses année à Saint-Modeste, Guillaume Bastille demeure actuellement à Montréal.
C’est sa première médaille olympique et sa première participation aux Jeux olympiques. Il a remporté l’argent dans le 1 000 m et la course relais aux Jeux universitaires mondiaux de 2009 tenus en Chine, ainsi que huit médailles de la Coupe mondiale.
Toujours en 2009, il a reçu la Bourse canadienne de patinage de vitesse Peter Williamson, qui reconnaît l’excellence dans l’athlétisme et les études.
Toute l'équipe du journal Info-Dimanche et du site infodimanche.com se joint aux millions de Canadiens et Canadiennes qui te disent : « Bravo Guillaume! »
Opération Cobra : réussie
Les quatre patineurs canadiens en piste pour le relais, Charles et François Hamelin, Olivier Jean et François-Louis Tremblay avaient un plan bien précis lorsqu’ils ont abordé la finale aux côtés des Coréens, des Américains, des Français et des Chinois : rester bien placé jusqu’à la moitié de la course sans prendre les devants et attendre patiemment. À mi-course, Olivier Jean effectue le dépassement, mais ce n’est pas là que les Canadiens ont surpris! C’est lorsqu’ils ont fait sauter un relais à Tremblay pour lui permettre de se reposer un peu et d’être au sommet de sa forme pour finir le relais. C’était l’Opération Cobra!
« La médaille d’or ça représente beaucoup de travail en équipe », a commencé par souligner Olivier Jean, de Lachenaie. «Ça fait des mois qu’on travaille cette stratégie à l’entraînement. Ça s’est déroulé extrêmement bien, comme dans un livre. On aurait pu écrire l’histoire de la course avant de la patiner. C’est de loin notre meilleur course en quatre ans et c’était exactement au bon moment. »
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