Guerre de mots entre le CIMT et Sherbrooke
5 mars 2010 |
07h25
« Les gens qui étaient présents au Palais des sports ont vu Rémi Royer servir un double-échec à Éric Perricone. C’est pourquoi j’ai envoyé Simon Robidas sur la glace pour le suivre. Si un de mes joueurs avait fait la même chose à Yannick Landry ou Chad Lacasse, je pense qu’il aurait envoyé un "tough" également. De toute façon, nous n’avons pas de leçon à prendre de quelqu’un qui n’habille que 16 joueurs, dont un "tough", ce qui a donné un match terne pour nos partisans. Nous allons à Rivière-du-Loup pour gagner parce qu’on est dans une course au championnat. Mes "toughs" vont y aller sur la glace… mais attendez-vous à ce qu’on ait des avantages numériques parce que nous voulons gagner ce match de hockey et être prêt pour affronter le Caron et Guay samedi soir », a laconiquement laissé entrendre l'entraîneur-chef du Saint-François de Sherbrooke.
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