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La première journée du Créneau Acéricole a eu lieu en format hybride le 3 juin dernier, à l’Hôtel Lévesque de Rivière-du-Loup. La première assemblée générale annuelle se déroulait en avant-midi alors qu’en après-midi, des projets auxquels le Créneau a participé et financé ont été présentés. Plus de 100 personnes ont assistés à la journée. La directrice générale, Marie-Myriam Dumais Synnott, a présenté le bilan de cette première année. L’importance de cette organisation auprès des entreprises reliées à l’industrie acéri- cole québécoise demeure notable. Plus d’un mil- lion de dollars ont été injectés dans le secteur par le Créneau afin de réaliser un total de 24 projets avec l’implication et la contribution de 170 entre- prises. «Le créneau d’excellence Acéricole devient un outil de développement pour l’ensemble de l’industrie. Nous sommes fiers de voir la grande collaboration des entreprises aux différents pro- jets. Ils participent ainsi au développement et au perfectionnement de leur industrie», a indiqué Mme Dumais Synnott. En 2020, le Québec produisait 73 % de la récolte mondiale de sirop d’érable. Les exportations canadien- nes représentaient, pour la même période, 135 millions de livres de sirop d’érable, sur une production totale de 189,5 millions. Au Québec, les ventes à la ferme dépassent les 500 M$ annuellement. Le Créneau Acéricole regroupe présentement les régions de Chaudières-Appalaches, le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, mais travaille avec l’ensemble des acteurs de la province. Fait à souligner, ensemble ses trois régions acéricoles récoltent 54 % de la production du Québec. Avec ces 77 membres, l’organisation représen- tent l’ensemble de l’industrie. Les producteurs, les transformateurs, les équipementiers, les organismes de soutien au développement, les centres de recherches, ainsi que les centres de formations, présents à cette première ont été en mesure de reconnaître l’importance des réalisa- tions après uniquement un an d’existence. «Le Créneau Acéricole devient et sera une référence en termes de développement du sec- teur acéricole au Québec. C’est impressionnant de voir la mobilisation que cette organisation a suscité», a conclu Guy Voyer, président du cré- neau d’excellence Acéricole. Une première année dépassant largement les objectifs pour le Créneau d’excellence Acéricole Les grandes retrouvailles du 50e anniversaire du Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup ont per- mis à près de 360 anciens de revivre leur adoles- cence le temps d’une journée, le samedi 21 mai. Pour les membres de plusieurs cohortes, les fes- tivités avaient déjà commencé la veille, lors de rassemblements privés. Réunissant des diplômés de l’Externat classi- que, de l’École secondaire Notre-Dame et du Collège Notre-Dame ainsi que des membres du personnel actuel ou retraité, les célébrations offi- cielles ont commencé à 14 h à la salle Reine- Antier du Collège avec les allocutions d’usage. Elles se sont poursuivies avec une visite des nou- veaux aménagements de l’établissement, puis un cocktail d’amitié. Le directeur général du Collège, Guy April, a rappelé les fondements de la mission de l’école, «tradition et innovation». Il a souligné le rôle et la vision des bâtisseurs, l’apport des partenaires de la région ainsi que le dynamisme, la créativité et l’engagement soutenu de son équipe envers les élèves, leurs parents et l’école. Il a conclu en pré- sentant les grands projets de développement en préparation. Lors d’une cérémonie protocolaire, le Collège a aussi rendu hommage à huit de ses diplômés. Pour la première fois, l’établissement a honoré trois anciens en les élevant au rang d’«Étoiles montantes». Il s’agit de Philippe Noël, de Carole- Anne Roussel et de Pierre-Antoine Gosselin. Conformément à une tradition quinquennale, cinq anciens ont été immortalisés parmi les «Grands» du Collège. Il s’agit de Guy Laforce, Stéphanie Poitras, Carl Pelletier, Myriam Veilleux, puis de Sylvain Dionne. Ces retrouvailles soigneusement orchestrées par la Fondation du Collège Notre-Dame auront marqué les esprits et éveillé de multiples souve- nirs de leurs jeunes années chez les personnes présentes. Un demi-siècle d’existence représente un cap important pour une institution dont les diplômés rayonnent partout au Québec et au-delà. Près de 360 anciens revivent leur adolescence le temps d’une journée 50 E ANNIVERSAIRE DU COLLÈGE NOTRE-DAME Les anciens de la promotion 1981 se sont réunis près de la classe extérieure du Collège, où sera planté un chêne en mémoire du regretté Michel Morin, diplômé de cette promotion, ancien enseignant du Collège et ex-maire de Rivière-du-Loup. PHOTO: ROSEMARIE DARIS La directrice générale, Marie-Myriam Dumais Synnott. Ville RDL .ca Lancement de livre et club de lecture d’été La Bibliothèque Françoise-Bédard convie les citoyens au lancement bas-laurentien de Cantine Sauvage : s’approvisionner en pleine nature et en toute liberté , co-écrit par Nathalie Le Coz et Martin Perreault. L’activité aura lieu le jeudi 16 juin à 17 h, au Café culturel de la Pointe (chalet de la Côte-des-Bains). À compter du samedi 18 juin, les enfants de 3 à 12 ans ont pour leur part rendez-vous à la bibliothèque, pour s’inscrire au club de lecture d’été Desjardins. Feux d’artifice en vente libre À l’approche de la fête nationale et de la fête du Canada, rappelons qu’il est désormais obligatoire d’obtenir un permis, gratuit, pour lancer des feux d’artifice. Cette mesure permet notamment de s’assurer que l’emplacement est adéquat, que les indices d’incendie sont propices et que le tout se déroule sous la responsabilité d’un adulte. La demande peut se faire via un court formulaire en ligne dans le Portail citoyen (VilleRDL.ca) ou par téléphone, au 418 867-6691. Prévoir un délai de traitement d’environ 5 jours. Dimanche en famille Le comité de la Semaine québécoise des familles ramène son populaire Dimanche en famille ce 12 juin à compter de 9 h30, au Centre Premier Tech. Sécurité sur roues, vide-grenier, jeux gonflables, camion à crème glacée molle, hot-dogs et plus encore. Quelques tables sont encore disponibles pour le vide-grenier : 418 860-4818. Grippe aviaire Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs rappelle que les carcasses d’oiseaux sauvages peuvent simplement être mises dans un sac et jetées aux ordures ménagères. La meilleure façon de procéder est de porter des gants pour ramasser l’oiseau mort, puis le déposer dans un sac de plastique doublé avant de le jeter. Il est ensuite recommandé de se laver les mains avec du savon et de l’eau ou avec une solution hydroalcoolique dont la concentration d’alcool est d’au moins 60 %. vivre CHRONIQUE MUNICIPALE 1157132322 LE 8 JUIN 2022 • INFODIMANCHE 22 ACTUALITÉ

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