MasterChef Québec : Simon Caron obtient son tablier Lors de son défi, le pompier de 31 ans a dû concocter un plat qui mettait en valeur le sau- mon. Il était opposé à une autre concurrente lors de son audition. Ils devaient utiliser les mêmes ingrédients pendant leur affrontement de 30 minutes. Pendant que le Louperivois cuisinait, le juge Stefano Faita lui a demandé s’il effectuait souvent cette recette à la caserne. Le Louperivois a répondu à l’affirmative en ajoutant à la rigolade: «[Mes 11 collègues] sont chialeux, mais ce n’est pas grave». Un commentaire qui a décroché des rires aux deux animateurs. Simon Caron a présenté aux juges un saumon poêlé accompagné d’une purée de panais ainsi qu’un pico de gallo, une salsa de tomates, oignons, aneth et noix de pin grillées. Le juge Faita a souligné que la brunoise de légumes de M. Caron était digne d’un restaurant, qualificatif qu’il a répété lorsqu’il a gouté la purée de panais. Le pompier a été l’un des derniers à obtenir son iconique tablier blanc. Il se sentait à sa place dans la cuisine, et sa confiance a été payante. Il est fier du plat présenté et a hâte que les spectateurs voient la suite de son chemine- ment dès la prochaine émission. Un avant-goût du prochain épisode a déjà été dévoilé sur les ondes de TVA. Les concurrents participeront au premier défi de la boîte mystère de la saison, une épreuve emblématique de la compétition culinaire internationale. JULIE COUVRETTE Malheureusement, la Louperivoise Julie Couvrette n’a pas eu la même chance que le pompier. Bien que l’émission du 9 janvier laissait croire en ses chances, l’épisode du 10 janvier a montré qu’elle n’avait pas obtenu son tablier blanc MasterChef. Lors de son audition, la passionnée de cuisine âgée de 47 ans affrontait deux autres aspirants concurrents. Pour leur défi, ils devaient réa- liser une de leur spécialité commune : leur meilleur plat de pâtes aux fruits de mer. L’agente de développement social à la MRC de Rivière-du- Loup a cuisiné des linguines sauce safranée crémeuse aux fruits de mer. À la fin de l’audition, elle se trouvait nez à nez avec une autre concurrente. Les juges ont eu de la difficulté à délibé- rer puisque leurs plats avaient la même lacune, ils manquaient un peu d’assaisonnement. Les plats des deux concurrentes se sont aussi démarqués à leur manière, celui de Julie Couvrette par le safran et celui de son adversaire par le mélange du gout de l’orange avec la tomate. Lors de l’annonce de la gagnante, les concur- rents étaient tous très émotifs. La déception était perceptible sur le visage de la Louperivoise. Participer à MasterChef était un rêve pour elle, rêve qu’elle ne mettra certainement pas de côté, puisqu’elle tentera à nouveau sa chance dans le futur. Elle souligne qu’elle a vécu une expérience incroyable et qu’elle est heureuse que la région soit représentée par Simon Caron. PAR LYDIA BARNABÉ-ROY > Initiative de journalisme local Simon Caron, originaire de Rivière-du- Loup, fera partie de l’aventure culinaire MasterChef Québec. Il a obtenu son tablier blanc au terme de son audition diffusée sur les ondes de TVA ce 11 janvier. Simon Caron. PHOTO: BERTRAND EXERTIER 1153010324 75, rue de l’Hôtel-de-ville Rivière-du-Loup, Québec, G5R 1L7 Téléphone: (418) 867-6758
[email protected] La Société historique de Rivière-du-Loup (SHRDL) est le fruit d’une fusion entre le Centre d’archives de la région de Rivière- du-Loup et la Société d’histoire et de gé- néalogie de Rivière-du-Loup. Celle-ci fut officialisée par l’octroi de lettres patentes de fusion le 14 septembre dernier. En plus des volets généalogie et histoire, le nou- vel organisme offre à la population de la MRC de Rivière-du-Loup un service d’ar- chives qui a pour but de conserver, pro- téger et mettre en valeur le patrimoine archivistique des individus, familles, organismes et entreprise issus principa- lement du territoire louperivois et de ses environs. Situé au sous-sol du bâtiment abritant Postes Canada sur la rue de l’Hôtel-de-Ville, la Société historique de Rivière-du-Loup poursuit les objectifs suivants : acquisition et traitement de fonds d’archives ; préserva- tion des documents patrimoniaux selon les normes de Bibliothèque et Archives natio- nales du Québec en matière de conserva- tion ; diffusion du patrimoine archivistique auprès du grand public et des chercheurs ; enfin, partenariat avec le milieu municipal et culturel. Par conséquent, la SHRDL conserve de nombreux documents qui témoignent de l’histoire économique, politique, sociale, culturelle, religieuse et sportive du terri- toire louperivois, du régime seigneurial du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Les documents conservés proviennent de dif- férentes sources : associations privées, com- merces, industries, familles et individus. On y retrouve notamment des documents ma- nuscrits, des photographies, des cartes, des plans, des vidéocassettes, des documents sonores, des disques optiques ainsi que des clés USB. Les chercheurs peuvent venir consulter les documents sur place. Ils peuvent éga- lement reproduire certains documents sur demande. Qui plus est, afin d’aider les usagers dans leur recherche, la SHRDL a élaboré des instruments de recherches qui permettent à ceux-ci d’obtenir rapidement les résultats escomptés. En effet, ceux-ci contiennent la description de chaque fonds d’archives en plus du contenu de chaque boîte. Dans un avenir rapproché, les cher- cheurs pourront aussi consulter des docu- ments d’archives numérisés sur notre nou- veau site internet. Ce dernier devrait être en ligne d’ici l’été 2024. Bien sûr, l’archiviste peut aider l’usager dans ses recherches en répondant à ses interrogations. La Société historique de Rivière-du-Loup est une assurance pour la sauvegarde de l’histoire de notre milieu. Si vous désirez plus d’informations sur notre organisme, vous pouvez communiquer avec nous par téléphone au numéro suivant (418) 867- 6758 ou par courriel à l’adresse qui suit :
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