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Vers une nouvelle caserne à Rivière-Bleue La rencontre, qui se veut moins formelle qu'une séance ordinaire du conseil municipal, a été l'occasion pour les citoyens d'en apprendre plus sur les projets en cours, notamment celui de la caserne incendie, sur l'implantation des sta- tions de lavage, le dépôt du nouveau rôle d'éva- luation en 2025, ainsi que le projet de réaména- gement du jubé et du presbytère. «La caserne, on ne se le cachera pas, elle a besoin d'amour. Pour moi, je n'étais pas au monde quand la bâtisse a été construite», lance le maire Claude H. Pelletier. Au fil du temps, le bâtiment a fait les frais de plusieurs modifica- tions, mais manifestement, il ne répond plus aux besoins du Service incendie. «Il est trop petit et pas du tout adéquat pour les camions d'aujourd'hui. Il n'est plus adapté. Le sous-sol est mal drainé et on commence à voir apparaitre des moisissures. Nous sommes coin- cés à l'intérieur et à l'extérieur. Nous aurions beaucoup de rénovations à y effectuer, mais à la base, il est trop petit», souligne la direc- trice générale de Rivière- Bleue, Claudie Levasseur. La Municipalité souhaite donc ériger un nouveau bâti- ment comptant trois portes. La nouvelle caserne serait construite sur un terrain dont la Municipalité a fait l'acquisi- tion, soit le 138, rue St- Joseph Nord, c'est l'emplace- ment où l'on retrouve le casse-croute Marguerite La Frite. «C'est l'emplacement où nous souhaitons implanter la future caserne. Comme nous sommes conscients que les travaux ne débuteront pas cet été, nous avons loué l'espace à un concessionnaire qui opérera le casse-croute», explique la directrice générale de Rivière-Bleue. «On a confié le mandat à trois firmes d'ingé- nierie et d'architecture. Les plans et devis nous ont été soumis, mais nous n'avons pas d'estima- tion des couts. Nous sommes encore à l'étude, car il n'est pas question d'aller de l'avant sans avoir la confirmation de certaines données», précise le maire. «Nous avons un plan, qui compte effective- ment trois portes, mais nous sommes dans l'attente d'une estimation préliminaire. Je dois aussi formuler des demandes de subventions, donc il nous manque des données, mais la volonté est de se doter d'une nouvelle caserne», ajoute Mme Levasseur. Claude H. Pelletier rappelle que le Service incendie de Rivière-Bleue est un organisme vital pour sa communauté. «On ne peut pas le négli- ger, mais en même temps, on doit respecter notre capacité de payer. La rencontre de mer- credi va en ce sens, parce que nous en discute- rons avec les citoyens», souligne le maire élu pour la première fois en 2011. Aucune autre dépense d'importance n'est à l'ordre du jour pour la brigade 28. «Nos véhicules sont à jour», ajoute-t-elle. Rappelons que le Service incendie de Rivière-Bleue, dirigé par Gino Fortin, est formé d'une vingtaine de mem- bres à temps partiel. Le Service a été fondé en 1961. La caserne Réjean Thériault est située au 28, rue des Pins Est. PAR FRANÇOIS DROUIN > Exigüe, âgée, ne correspond plus aux nor- mes incendie, les arguments en faveur d'une nouvelle caserne sont nombreux à Rivière-Bleue. Et la Municipalité ne s'en cache pas, elle planche sur un projet de nouvelle caserne depuis un moment déjà. D'ailleurs, le sujet a été à l'ordre du jour le mercredi 28 février dans le cadre de la Soirée publique d'information annuelle de la Municipalité. 1151161024 418 868-0822 [email protected] DÉPUTÉE DE RIVIÈRE-DU-LOUP–TÉMISCOUATA (INCLUANT LES BASQUES) AMÉLIE DIONNE À toutes les femmes de ma circonscription La Journée internationale des droits des femmes est pour moi l’occasion d’exprimer ma gratitude envers le travail et l’implication des femmes dans notre société. Plus particulièrement aux femmes de ma circonscription. Vos réalisations, vos compétences et votre influence positive dans notre communauté sont inestimables et méritent d’être célébrées. En tant que première femme députée de la circonscription de Rivière-du-Loup – Témiscouata (incluant Les Basques), l’égalité entre les femmes et les hommes est une valeur essentielle qui guide mes actions politiques au quotidien. Nous sommes 50 % de femmes au Québec et il est primordial que cette réalité se reflète autant en politique que dans toutes les sphères d’activités de notre société. Ici au Québec, nous avons réalisé des progrès considérables avec un conseil des ministres paritaire et une assemblée nationale équilibrée. Peu de nations peuvent se vanter d’y être parvenues et on se doit de le souligner et d’en être fier. Les choses évoluent, mais il est essentiel de continuer à encourager les femmes à occuper leur juste place dans les instances décisionnelles. Mesdames, vos voix et vos perspectives doivent être entendues, car cela profite non seulement à vous, mais aussi à l’ensemble de notre collectivité. Je chéris souvent le souhait que chacune d’entre vous puisse contribuer pleinement à la prospérité collective à la hauteur de ses aspirations et de ses ambitions. Ne cessez jamais de rêver et de croire en vous. Vous avez le droit de vous épanouir dans tous les domaines. Votre force, votre courage et votre détermination sont une source d’inspiration pour notre société. En cette journée internationale qui vous est dédiée, soyez fières de vous, de vos sœurs, de vos filles, de vos amies, de vos mères… et de toutes les femmes importantes de votre vie. Parce que chaque femme compte. Bonne journée internationale des droits des femmes! Amélie Dionne Députée de Rivière-du-Loup – Témiscouata (incluant Les Basques) | INFODIMANCHE Le 6 mars 2024 • ACTUALITÉ 8 >

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