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Une session d’automne marquée par la paralysie libérale et des crises non résolues, résume Bernard Généreux

durée 22 décembre 2024 | 11h39
  • La session parlementaire d’automne 2024 s’est terminée le 17 décembre, révélant un gouvernement libéral paralysé par ses propres scandales et incapable de répondre aux défis pressants auxquels font face les Canadiens, d’après Bernard Généreux. 

    «Cet automne a mis en lumière l’ampleur du chaos provoqué par Justin Trudeau et son gouvernement : une Chambre des communes paralysée par des motions de privilège et par la corruption libérale, des scandales éclatants au grand jour, des décisions économiques désastreuses, des prédictions budgétaires astronomiques et une politique d’immigration hors de contrôle», a déclaré Bernard Généreux, député de Montmagny - L’Islet - Kamouraska - Rivière du Loup.

    Le Canada fait face à une menace économique grave, juge le député : les États-Unis envisagent d’imposer une taxe de 25 % sur plusieurs exportations canadiennes. «Alors que l’économie canadienne vacille déjà sous le poids de l’inflation et de déficits records, Justin Trudeau reste passif face à cette menace qui pourrait dévaster nos industries et les travailleurs qui en dépendent. Le silence du gouvernement libéral est assourdissant, et son inaction face à cette situation critique est inexcusable», s’indigne l’élu.

    Il déplore l’incapacité du gouvernement Trudeau à gérer l’immigration et à sécuriser les frontières canadiennes. «La sécurité des Canadiens ne devrait jamais être compromise, mais ce gouvernement semble plus préoccupé par son image que par les enjeux réels», a clamé Bernard Généreux. 

    La démission de Chrystia Freeland, ministre des Finances, a marqué un tournant dans la crise de confiance qui entoure ce gouvernement, croit le député. Alors que les Canadiens luttent pour faire face à la hausse du coût de la vie, l’énoncé économique d’automne a révélé un déficit record de 62 milliards de dollars, bien au-delà du «garde-fou» de 40 milliards promis par Mme Freeland elle-même avant son départ, a-t-il ajouté. 

    Pendant ce temps, les Canadiens subissent les conséquences directes des mauvaises décisions libérales, a-t-il poursuivi. Le coût du logement a doublé en neuf ans, les banques alimentaires peinent à répondre à une demande explosive et les taux d’intérêt élevés menacent les familles et les entreprises, a-t-il énuméré. «Justin Trudeau continue de plonger le pays dans le chaos économique, et les Canadiens en paient le prix.»

    En parallèle de son travail à Ottawa, Bernard Généreux a maintenu une présence sur le terrain, en multipliant les rencontres avec les citoyens, les entrepreneurs et les élus locaux de la circonscription. «Écouter les besoins des gens et apporter leur voix à la Chambre des communes demeure ma priorité absolue», a-t-il souligné. Alors que la nouvelle année approche, Bernard Généreux appelle à un engagement collectif pour relever les défis à venir. 
     

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