Nathalie Arsenault veut ajouter l’environnement au discours souverainiste
C’est à cette occasion que Nathalie Arsenault a insisté sur l’intérêt que le Québec doit porter à la question environnementale : « N’ayons pas peur d’affirmer nos intentions et de mettre au premier plan nos préoccupations environnementales dans l’argumentaire pour la souveraineté. » Déçue par la représentation du Canada au sommet de Copenhague, elle a aussi rappelé que le Canada au grand complet a porté le bonnet d’âne. « J’ai eu honte parce que M. Harper a passé peu de temps à la conférence, mais au final, s’il en avait passé plus, j’aurais eu plus honte encore. »
On perçoit encore deux solitudes en ce qui a trait à l’environnement : « Aussi, n’ayons pas peur d’affirmer nos intentions et de mettre au premier plan nos préoccupations environnementales dans l’argumentaire pour la souveraineté», de proposer Mme Arsenault.
Convaincue qu’il faut apporter des solutions concrètes, telle la bourse du carbone, la candidate à l’investiture dans Montmagny-L’Islet-Kamouraska-Rivière-du-
Loup a tenu à rappelé aux participants présents que « …il ne faudrait plus jamais avoir honte comme on a eu honte à Copenhague », ce qui lui a mérité l’approbation des 400 militants venus au rendez-vous.
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