Ma vie avec ces animaux qui guérissent de Victor-Lévy Beaulieu : Une lecture passionnante !
Victor-Lévy Beaulieu vit dans son quotidien, dans sa maison et dans son domaine entouré d’animaux qui portent tous un nom. Si les images de son dernier ouvrage Ma vie avec ces animaux qui guérissent sont très convaincantes, très fortes et aussi très tendres, le texte n’est rien de moins que passionnant et très riche d’enseignement. Il nous ramène à l’essentiel !
Au sens le plus large, il s’agit d’un éloge bien mérité à tous ces êtres, petits et grands, qui forment le règne animal et dont le comportement, même si on le dit instinctif, est rempli d’un civisme qu’on retrouve à peine dans le genre humain… Le célèbre auteur et dramaturge rend aussi éloge à toute la population animale qui partage sa vie.
Et plus intéressant encore, on peut lire le livre par devant, par derrière, par le centre. J’ai commencé au chapitre 3. Par simple curiosité, en prenant mon café matinal. La dame avec laquelle je partageais ce magnifique matin d’août dut attendre une couple d’heures avant de pourvoir me causer. Et quand elle prit possession de l’ouvrage, elle m’envoya paître à son tour quand je voulus lui adresser la parole. VLB l’avait envoûtée avec ses animaux et toutes les expériences et observations qu’il décrit dans son livre. Quand on dit qu’un must est un must, Ma vie avec ces animaux qui guérissent est un must. Voilà !
DANS LE SÉLECTION DU READER’S DIGEST DE SEPTEMBRE
Dans son édition de septembre 2010, le Sélection du Reader’s Digest a choisi Ma vie avec ces animaux qui guérissent de Victor-Lévy Beaulieu pour en faire son Livre du mois, un condensé qui couvre 19 pages avec photographies.
Sous le titre Le bonheur, tout bêtement, le sommaire indique que c’est à la page 130 de cette édition de septembre que nous pourrons lire « les bonnes feuilles du dernier livre de Victor-Lévy Beaulieu, grand ami et barde des animaux ». Le rédacteur en chef Robert Goyette invite les lecteurs à goûter ces portraits savoureux, où se mêlent humour et réflexion philosophique, qui sont tirés de Ma vie avec ces animaux qui guérissent.
Le plus récent ouvrage d’un VLB qui a choisi il y a longtemps de vivre « du bord des bêtes » est en voie de conquérir le Québec d’un pâturage à l’autre, aussi bien dans les milieux urbains que ruraux. Publié aux Éditions Trois-Pistoles, l’ouvrage décroche la cote Coup de cœur chez les principaux libraires du Québec et ce, quelques semaines seulement après sa parution. Surprenant, touchant, rempli de beauté toute simple, l’ouvrage se distingue par cette passion à fleur de peau qui se dégage des propos du grand écrivain.
« J’étais malade et les bêtes m’ont appris la guérison », avoue-t-il sans gêne aucune, y puisant plutôt une sagesse émanant des odeurs et des humeurs de ce qui vit, patauge ou rumine.
3 commentaires