« French Kiss »: rafraichissant!
25 mars 2011 |
15h16
Par Jo-Annie Lagacé
» Suivez infodimanche.com sur Twitter
Dernièrement, je disais à des amis que je n’aimais pas particulièrement Claude Legault. On le voit partout et je n’apprécie pas toujours. Je rectifie alors; je l’aime quand il fait le drôle. Je l’ai aimé dans « Annie et ses hommes » et dans « Dans une galaxie près de chez vous ». Et dans « French Kiss », je l’ai adoré!
Dans ce dernier film de Sylvain Archambault, Legault campe le rôle de Frédéric Champoulx, un homme plutôt frivole. Alors qu’il marche dans la rue, il tombe sous le charme d’une inconnue. Il la suit jusqu’à la bibliothèque où il l’aborde par une phrase facile « On ne se serait pas déjà vu quelque part? ».
Sauf que la belle Juliette (Céline Bonnier) le méprend avec un ancien collègue du collège et Fred joue le jeu pour la connaître davantage. Il prend l’identité de ce vieux camarade de classe, Robert. Nouveaux passe-temps, nouveau style de vie, nouveau cellulaire, tout pour devenir Robert. Viendra bien un moment où il devra faire face à ce nouvel amour et lui avouer la vérité…
« French Kiss » joue la carte de la comédie sentimentale, un peu à l’américaine, mais en mieux réussi, en plus plausible et en moins « conte de fée impossible ». J’ai ri un peu, mais j’ai souri, du début à la presque fin. L’histoire me rendait joyeuse. Je trouvais rafraichissant une intrigue comme celle que nous présente « French Kiss », parsemée d’une voix hors champs et de gags subtils. J’ai adoré le film du début à la presque fin…
Je l’ai mentionné plus haut, j’aime Claude Legault quand il est amusant, pas quand il joue le drame. Je n’ai pas accroché sur la fin du film, quelque peu prévisible et déjà trop utilisée dans les comédies sentimentales américaines.
Mon dernier et seul vrai point négatif concerne le titre du film, dans lequel l’allusion à ce qu’il représente dans l’histoire. Pourquoi? Pourquoi on nous montre ça? Et vlan! L’image du programme de Musique Plus refait surface. Je me serais contentée d’une référence au mensonge…
Commentaires
