Une maison rasée par les flammes à Rivière-Bleue
C'est une passante qui a aperçu de la fumée s'échapper de la maison, qui a donné l'alarme. « Je marchais, et j'ai vu de la fumée qui s'échappait. J'ai voulu cogner à la porte voir s'il y avait quelqu'un, mais il y avait trop de fumée. Je me suis tout de suite rendue chez les voisins pour les réveiller. Ça n'a pas été long, les flammes sortaient », nous a-t-elle raconté.
Photo : François Drouin
Le Service incendie de Rivière-Bleue s'est rapidement rendu sur place. « À notre arrivée, il y avait déjà des flammes. Comme personne n'habitait là, nous avons été prévenus plus tard. Le feu a eu le temps de progresser. Il faut comprendre aussi qu'il s'agit d'une maison en bois, isolée au bran de scie », a commenté le chef des opérations et directeur du Service incendie de Rivière-Bleue, Gino Fortin.
Photo : François Drouin
Le service incendie de Pohénégamook a été appelé en renfort. Les pompiers ont concentré leurs efforts à contenir les flammes à la maison située à l'intersection des rues St-Joseph et de l'Église. Heureusement, ils ont profité d'une soirée sans vent. Il faut comprendre que deux maisons, et plus particulièrement celle du 85, rue St-Joseph étaient situées à proximité.
Photo : François Drouin
Hydro-Québec a été appelée à se rendre sur place afin de couper l'alimentation en électricité de la maison. Les pompiers ont fait appel à une pelle mécanique afin d'évacuer les gaz chauds et de mettre à terre la structure avant un embrasement général qui aurait pu menacer les deux résidences voisines.
La brasier faisait rage à l'arrière de la maison.
Photo : François Drouin
« Mais ce n'est pas que ça, ajoute M. Fortin. Ça nous permet de mieux conserver nos éléments de preuve qui si tout brûlait. L'étude des décombres en est facilitée » a souligné le chef des opérations.
Photo : François Drouin
L'origine de l'incendie n'est pas encore connue. Toutefois, au moment d'écrire ces lignes, aucune hypothèse n'était rejetée. D'ailleurs, un enquêteur de la Sûreté du Québec doit se rendre sur les lieux qui ont été placés sous garde policière.
Photo : François Drouin
L'évaluation municipale de la maison qui était à vendre est de 42 000 $, un montant qui inclut le terrain. Mais le prix demandé était de 35 000 $. Évidemment, il s'agit d'une perte totale.
Photo : François Drouin
À 1 h 05, les pompiers combattaient toujours les flammes. Le brasier avait gagné la partie avant de la résidence.
Photo : François Drouin
Les pompiers ont fait appel à une pelle mécanique afin d'évacuer les gaz chauds.
Photo : François Drouin
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À 1 h 05, les pompiers combattaient toujours les flammes. Le brasier avait gagné la partie avant de la résidence.
Photo : François Drouin
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