Le cyclone de Noël: comme un bon chocolat chaud!
Marie Ève Dubé
Le temps des Fêtes approche à grands pas, et on nous présentait en nouveauté le 8 novembre dernier un film qui deviendra, selon moi, un classique à écouter et réécouter. Ayant adoré la série québécoise «L’oeil du cyclone» qui abordait avec humour le lourd sujet de la charge mentale, j’ai été tout de suite intriguée lorsque la bande annonce du film «Le cyclone de Noël» est sortie. J’avais déjà le sourire aux lèvres et hâte d’en voir plus, alors nous y voilà!
Nous retrouvons donc Isabelle, le personnage central de la famille Gagnon. Elle adore Noël depuis toujours, et pour elle, cette période rime avec traditions: le sapin, la neige, le réveillon, la tourtière… À deux semaines du décompte, elle s’aperçoit avec tristesse que tous ses efforts pour célébrer un Noël traditionnel risquent de tomber à l’eau. En effet, les autres membres de sa famille ont d’autres projets pour cette année, qui ne comprennent ni réveillon en famille, ni anecdotes gênantes à raconter. Sa mère souhaite partir en Floride, sa grande fille Jade veut aller dans sa belle-famille et les jumeaux veulent s’éclipser avec leur père et leur belle-mère à New York. Et avec tout ça, tout le monde semble avoir oublié mémère qui habite en résidence pour aînés. Isabelle peut heureusement compter sur l’aide d’Éliane, sa grande sœur, qui ne manque pas d’imagination et d’audace pour arriver à ses fins.
Les gens ayant vu la série ne seront pas surpris de la solide distribution. Christine Beaulieu dans le rôle d’Isabelle, et sa soeur, Éliane, interprétée par Véronique Cloutier. Danielle Proulx (Louise), jouant la mère des deux sœurs, et son conjoint Michel (Luc Senay). Sans oublier Patrick Hivon, Catherine Souffront, et j’en passe. Ce que j’avais particulièrement apprécié de la série «L’oeil du cyclone», c’est d’avoir le sentiment d’être un membre de la famille Gagnon. De connaître et de comprendre leur réalité et leurs enjeux. D’avoir l’impression qu’Isabelle pourrait être ma meilleure amie. C’est ce même sentiment de familiarité que j’ai ressenti lors du long métrage.
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