Insolubles?
Ah! Il existe donc des mystères insolubles… même pour vous qui êtes légion, malins lecteurs. Ainsi, sur mes sept problèmes de la semaine dernière, il en reste quatre que vous n’avez pas résolus… du moins pas encore. Je les rappelle ici, avec un indice pour chacun.
CHARADE (Vous l’êtes peut-être, ou je le suis…)
Mon premier entend mal,
Mon deuxième fait mal,
Mon troisième s'en moque,
Mon quatrième se couche,
Et mon cinquième aurait plus de goût s'il avait un accent.
Quant à mon tout, j'en désespère!
PHRASE UN (Nous l’avons sous les yeux chaque jour…)
Je suis une jumelle. On ne m’emploie guère pour mes premiers, surtout s’ils sont petits. Pour me fabriquer, il a peut-être fallu ma deuxième? Quant à ma dernière, elle n’en finit plus!
PHRASE DEUX (Ce fut aussi un compagnon fort bienvenu…)
Commencé par une trahison et fini par un chiffre (qui peut être double), mon tout est une fin ou un début, selon l’époque.
IMAGE DEUX (Elle en a entendu, des sifflets !)
14 commentaires
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Mon premier entend mal : Hein?
Mon deuxième fait mal : Corps
Mon troisième s'en moque : Rit
Mon quatrième se couche : Gît
Et mon cinquième aurait plus de goût s'il avait un accent : Ble, blé
Quant à mon tout, j'en désespère! INCORRIGIBLE
Bravo! Et peut-être que mes trois autres mystères paraîtront maintenant plus faciles..
Pour la trahison, on dit vendre quelqu’un dans le sens de le dénoncer pour de l’argent. Le compagnon fort bienvenu de l’indice pourrait être le Vendredi de Robinson Crusoé.
Dans la religion catholique, le vendredi saint marque la fin de la vie de Jésus. Et le jour sacré des musulmans correspond au jour où l'homme et la femme (Adam et Ève) apparaissent dans le récit de la Genèse soit le sixième en commençant à compter par le dimanche, soit le vendredi. Ça expliquerait la fin et le début de l’énigme. Pour le chiffre, j’ai pas vraiment d’explication. Dix pour le di de vendredi. Un chiffre qui peut être double. 10. On a le 1 et le 0, c’est double… Non?
En tout cas, peu importe, je trouve que c’est un bel essai. ;o)
Du grec ancien δι-, di- (« deux » ou « double ») Là ça marcherait mieux, je pense.
Phrase Un
Je suis une jumelle et nous l'avons sous les yeux chaque jour :la poivrière,jumelle de la salière, pour ceux qui la laissent sur le comptoir.
On ne l'utilise guère pour les petits pois.
Pour la fabriquer, il a peut-être fallu utiliser une vrille.
Et l'ère étant une période de temps qui commence à un point défini...et n'en finit plus, en tout cas pour l'ère actuelle dont la fin n'est pas définie.
Pois-vrille-ère
??
Ne reste que l'étoile...
J'ai hâte de lire la page de jeudi!
Il faut savoir prendre le train en marche...