Images… Et autres mystères!
Il y a plusieurs mois je vous avais demandé d’identifier quelques images prises dans notre bonne ville de Rivière-du-Loup. En voici quelques autres.
Si vous êtes Louperivois vous devriez les reconnaître au premier coup d’œil… Mais parfois, à force de passer devant les choses souvent, on en vient à ne plus les voir! Et si vous n’habitez pas la ville mais l’avez visitée quelques fois, vous devez aussi avoir remarqué ces éléments de notre décor.
Alors dites-moi : de quoi s’agit-il? Où est-ce?
Première image :
Deuxième image :
Troisième image :
Quatrième image :
Cela dit, vous avez résolu trois des six énigmes que je vous avais proposées la semaine dernière : COUCI-COUÇA, ABASOURDIR et CATAMARAN. En reste donc trois, que je vous rappelle ici :
NU
Mes premiers endormaient,
Certains dorment dans ma suite,
Ma fin a son heure,
Mais mon tout n’a pas de fin.
KSI
Mon premier va de l’aiguille à la gouttière,
Mais il ne mange pas de mon deuxième;
Et quand il passe à mon dernier,
C’est qu’il a trouvé mon tout.
PI
Je suis une expression trompeuse, qui commence par une abondance, continue par une particule et finit à néant.
Devrais-je ajouter un indice ou deux pour vous faciliter la tâche? Allez, je suis trop bon! Alors pour NU, si le premier énoncé dit « Mes premiers », c’est qu’il s’agit de deux syllabes. Pour KSI, Yoann avait raison : mon premier est « chat ». Et pour PI, il s’agit bien d’une expression, et non d’un seul mot.
Je n’en dirai pas plus, même sous la torture! À vous maintenant…
18 commentaires
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Riz, que le chat ne mange pas.
Table pour "passer à table" dans le sens de "faire des aveux"
Bien joué, @Gilles ;)
Donc, la première j’irais avec la façade du vieil aréna. Mais ce qui me fait douter ce sont les images d’animaux, je me demande ce que chacune des trois peut représenter pour un lieu sportif. Le castor, ça pourrait toujours aller, mais les deux autres!
Et pour l'explication de la table, ce n'est pas ça que je voyais..
Je vais quand même tenter quelque chose… mais bon, je pourrai dire que j’ai quand même essayé et ça me suffit…
Je suis une expression trompeuse qui commence par une abondance, continue par une particule et finit à néant.
Pour l’abondance, je dirais « avoirs ».
Pour la particule, j’irais avec « partie de » et ce qui finit à néant, j’y vais avec rien
Ça donne avoir parti de rien. La vraie expression est être parti de rien, mais vu que c’est une expression trompeuse, je me dis qu’il me reste quand même une infime chance…. Ai-je quand même chauffé un peu...?
Je réchauffe ou je commence à geler?
J'ai la solution de PI : 3,14... ;)