Pour rire un peu

Il y a un petit livre bleu qui s’intitule Dieu, le pape, les chrétiens.  On y trouve de jolies histoires, comme celles-ci :

« Un jeune prêtre va voir un de ses confrères et lui demande :

—Mon frère, quelles sont les qualités d’un bon sermon?

—Un bon sermon, lui répond l’autre, doit avoir un bon commencement et une bonne fin.  Puis (très important) tu fais en sorte que le commencement soit le plus proche possible de la fin… »

« Monsieur le curé ne se plaît pas du tout dans sa nouvelle paroisse.  Complètement déprimé, il décide de consulter un psychiatre.

—Savez-vous si vous parlez en dormant? demande le médecin.

—Je ne saurais vous le dire, répond le curé.  Tout ce que je sais, c’est que les autres dorment quand je parle! »

« Dieu dit à Adam :

—J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi, Adam.

—Dites-moi la bonne d’abord.

—Je vais te donner un sexe et un cerveau.  Comme ça, tu auras beaucoup de plaisir et beaucoup de raisonnement.

—Et la mauvaise nouvelle?

—C’est que ta pression sanguine ne te permettra pas de faire fonctionner les deux en même temps… »

J’adapte un peu celle-ci :

« Ti-Paul et Ti-Pierre se lancent un défi :  c’est à qui donnerait le moins à la quête du dimanche.  Quand arrive le moment, Ti-Paul met 1 sou dans le panier.  Il se demande comment Ti-Pierre va pouvoir donner moins…  Le quêteux passe à Ti-Pierre, qui montre Ti-Paul du doigt et dit :

—On est ensemble. »

« Vous savez qu’il ne faut jamais juger les gens sur leurs fréquentations.  Judas, par exemple, avait des amis irréprochables. »

Et puis, tiens!  Puisque vous aimez les énigmes, voici deux devinettes :

« Qui a descendu Jésus de sa croix?  Un chat, parce qu’il est descendu par minou (excusez!  Je voulais dire : parmi nous ».

« De quoi est mort Jésus?  De la tuberculose.  Comment ça, me direz-vous?  Parce que quand il est entré à Jérusalem, tout le monde criait :

—Au sana!  Au sana! (Euh…  peut-être que c’était : Hosanna!  Hosanna! »

ET LES MÉNINGES?

Bon, c’est bien beau de rire un peu, mais il faut travailler un peu, aussi.  La semaine dernière, vous m’avez résolu sept énigmes dans le temps de le dire.  Alors en voici trois autres pour vous garder en forme.

PREMIER CAS

En premier, un chemin de campagne ou une position sociale.  Ensuite un vulgaire séant, puis un verbe qui refuse.  Et tout ça fait un tout qui ne peut oublier.

DEUXIÈME CAS

Mon premier s’allonge en mars.

Mon deuxième est une révolte puérile.

Mon troisième, uni ou bien fleur?

Mon dernier est mis pour ma personne.

Mon tout?  Andréanne ou François pourraient vous en parler!

TROSIÈME CAS

Je finis souvent par perdre mon homme (ou ma femme).  Pour ça je commence par me fêter en hiver, puis je décris un pain qui contient du son, et je finis atomique.  Vous avez trouvé qui je suis?