Voir mourir un petit commerce
6 avril 2011 |
16h00
5 avril : Une feuille blanche collée dans la porte attire mon attention : une lettre d’un huissier.
« Dans l’affaire de faillite de… » C’est toujours triste de voir mourir un commerce, surtout quand c’est un petit commerce, une boutique, un restaurant… Dans la ville ou le village, c’est un élément vivant, un lieu de rencontre, un endroit de sain et tranquille plaisir qui disparaît.
Souvent on connaît les gens qui ont risqué leurs économies, qui ont travaillé, qui ont espéré… Peu importe les raisons, peu importe si le failli a commis des erreurs, des maladresses, voire des indélicatesses : ça me rend toujours triste de voir mourir un petit commerce, de voir cadenassée une porte qui ne demandait qu’à s’ouvrir toute grande.
Commentaires
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La reconnaissance est une qualité qui se sème et qu'on récolte le temps venu...mais encore faut-il y penser.7ARS