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De la bonté et des voisins

durée 27 avril 2011 | 15h20
27 avril - Je me demande s’il y a une plus belle qualité que la bonté.  Une bonne personne ne peut faire du mal, ni endurer que l’on fasse du mal.  Une bonne personne va naturellement vers les autres pour aider, sans rien attendre en retour.  Un homme bon, une femme bonne, même s’ils ne sont pas très intelligents, pas très courageux, pas très riches, sont des éléments positifs pour une communauté.  Bien sûr, les chefs d’entreprise préconisent l’initiative, le charisme, la ténacité…  Mais quelle qualité choisirions-nous en premier, si nous pouvions choisir nos voisins?  (à suivre).


28 avril - N’est-il pas souhaitable que nos voisins soient de bonnes personnes, avec toute l’honnêteté, la serviabilité, la réceptivité que cela implique?  Les bons ne cherchent jamais la chicane, ils peuvent atteindre à la gloire mais jamais au détriment d’autrui, ils peuvent devenir riches, mais sans appauvrir les autres.  Les bonnes personnes restent rarement dans l’Histoire.  Pourtant ce sont elles qui FONT l’histoire, par des millions et des millions de petits gestes.  Des races ont survécu grâce à la bonté et à l’entraide, des empires se sont écroulés quand la mesquinerie, l’ambition et l’avidité ont pris le dessus.

commentairesCommentaires

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  • LP
    La Palice
    temps Il y a 13 ans
    Si des races ont survécu grâce à l'entraide, il y en a malheureusement beaucoup d'autres qui sont en train de mourir pour avoir pratiqué ces qualités.
    Que sont devenus ces Indiens qu'ont su utiliser nos ancêtres lors de la conquête de l'Amérique? Et dans quel état sont-ils aujourd'hui?
    Je ne parle pas de ceux de Cacouna, mais de ces Indiens du grand nord qui vivent souvent dans des conditions exécrables.
    Des miroirs et des pacotilles pour leurrer l'habitant afin de s'approprier ses terres.
    Que de bénévoles volontaires mais dont le fruit de leur travail profite qu'à celui qui l'utilise. Il ne faut pas se surprendre même si ces derniers seront toujours nécessaires, de les voir se faire de plus en plus rares.
    Et enfin!
    Pourquoi à la première approche, beaucoup de Louperivois, les anciens surtout, sont-ils si réfractaires à fraterniser avec le nouveau venu?
    Intéressés à le situer dans ses avoirs et sa provenance, mais surtout intéressés de connaître la place qu'il doit occuper vis-à-vis le nouveau venu. Quand un voisin vous évite pour ne pas à avoir à dire bonjour, la question mérite d'être posée.
    Malheureusement, Rivière du Loup aime l'étranger mais il le craint aussi. La fraternité ne doit pas se mesurer qu'à l'argent que le touriste ou le nouveau résident apporte à sa ville d'adoption, mais à ses valeurs intrinsèques et surtout ne pas être vu comme une menace pour ceux qui occupent déjà la place.
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