Des graines, Churchill et de l'émotion
1 juin 2011 |
01h25
1er juin : Est-ce aujourd’hui qu’on va chercher les plants de tomates, les graines de radis, les barquettes de pensées?
Qu’on regarde le calendrier pour vérifier le fameux rendez-vous avec la « lune de juin »? Pour certains, mais pas tous. Il y a aussi les examens de fin de session, et le plus important de tous : le bal des finissants!
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2 juin : Une belle phrase d’un auteur inconnu: « La vie, ce n’est pas de craindre la tempête, mais de danser dans la pluie » .
Et, dans un registre moins poétique:
Puisqu’on parle tant de l’Irak et de l’Afghanistan depuis quelques années, peut-être ne serait-il pas inutile de relire le texte qui suit :
« Jamais, jamais, au grand jamais, faut-il croire qu’une guerre sera facile, ou que ceux qui s’embarquent pour cette grande aventure puissent prévoir les marées et les ouragans qu’ils rencontreront en route.
Une fois le signal donné, l’homme d’État n’est plus le maître de sa politique, mais l’esclave d’événements imprévus. Méthodes arriérées, généraux faibles, incompétents, arrogants, alliés peu sûrs, neutres hostiles, malchance, mauvaises surprises, faux calculs —tous ces tristes personnages prennent place à la table du conseil le jour de la déclaration de guerre.
Quelle que soit la facilité avec laquelle vous pensez vaincre, souvenez-vous toujours qu’il n’y aurait pas de guerre si l’ennemi, lui aussi, ne croyait pas pouvoir gagner. »
Qui a dit ça? Winston Churchill.
Qu’on regarde le calendrier pour vérifier le fameux rendez-vous avec la « lune de juin »? Pour certains, mais pas tous. Il y a aussi les examens de fin de session, et le plus important de tous : le bal des finissants!
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2 juin : Une belle phrase d’un auteur inconnu: « La vie, ce n’est pas de craindre la tempête, mais de danser dans la pluie » .
Et, dans un registre moins poétique:
Puisqu’on parle tant de l’Irak et de l’Afghanistan depuis quelques années, peut-être ne serait-il pas inutile de relire le texte qui suit :
« Jamais, jamais, au grand jamais, faut-il croire qu’une guerre sera facile, ou que ceux qui s’embarquent pour cette grande aventure puissent prévoir les marées et les ouragans qu’ils rencontreront en route.
Une fois le signal donné, l’homme d’État n’est plus le maître de sa politique, mais l’esclave d’événements imprévus. Méthodes arriérées, généraux faibles, incompétents, arrogants, alliés peu sûrs, neutres hostiles, malchance, mauvaises surprises, faux calculs —tous ces tristes personnages prennent place à la table du conseil le jour de la déclaration de guerre.
Quelle que soit la facilité avec laquelle vous pensez vaincre, souvenez-vous toujours qu’il n’y aurait pas de guerre si l’ennemi, lui aussi, ne croyait pas pouvoir gagner. »
Qui a dit ça? Winston Churchill.
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