Une critique savoureuse pour La Porte Arrière
Après avoir conquis le palais des amateurs de bonne bouffe de la région dans la dernière année, voilà que le restaurant louperivois La Porte Arrière fait maintenant parler de lui au-delà des frontières bas-laurentiennes. L’établissement de la rue Lafontaine jouit d’ailleurs d’une critique alléchante dans le journal Le Devoir, ce vendredi 14 aout.
«De généreuses portions», «une patience digne de mention», «une parfaite coloration», «de vrais professionnels»… la représentante du quotidien montréalais, Laurence-Michèle Dufour, enchaine les compliments pour raconter l’expérience «fort positive» qu’elle a vécue au petit restaurant au début du mois.
«L’omble chevalier, avec sa peau bien craquante, nous arrive déposé sur une polenta crémeuse, la meilleure que nous ayons jamais mangée. N’étant ni l’une ni l’autre très amatrices de la chose, nous voilà surprises par ce véritable tour de force», écrit-elle au sujet de l’un des plats commandés.
«Ici, le menu change toutes les semaines. On sent bien que la jeune équipe dynamique cherche sans relâche à nous en mettre plein la vue. Une adresse à garder en tête, que l’on soit Louperivois ou pas!», conclut-elle, après une appréciation de «l'impeccable orgetto au fumet de homard».
La critique complète peut être lue ici.
UN BEAU CADEAU
Rejointe en matinée, la copropriétaire Patricia Charest était évidemment très heureuse de la visibilité offerte par ce texte paru dans un média à la portée nationale. «C’est flatteur […] Ça nous pousse à continuer de peaufiner notre travail, à continuer d’être passionnés comme nous le sommes et de poursuivre la transmission de cette passion.»
«Nous avons de beaux commentaires au quotidien et nous en sommes très reconnaissants. Hier, un petit couple de Granby nous a dit que son seul regret, c’était de ne pas être venu ici avant. [Quand les gens apprécient], ça nous nourrit tellement, ça nous donne des frissons.»
Depuis la réouverture du restaurant, il y a quelques semaines, la réponse des clients est formidable, estime Patricia Charest. Elle constate d’ailleurs elle-même que les épicuriens se donnent maintenant rendez-vous dans leur établissement pour le repas du midi ou du soir.
«On profite de ça. Les foodies se font maintenant référer notre établissement et c’est notre chance d’embarquer dans la cour des grands», souligne-t-elle.
La Porte Arrière a fêté son premier anniversaire à la fin avril.
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