Le Symposium Resto Boutique a un nouveau propriétaire
Ce 1er mai revêt un caractère spécial pour l’homme d’affaires et restaurateur louperivois Nicolas Morin qui cède sa place à la tête du Symposium Resto Boutique à Sébastien Falardeau, nouvel acquéreur de l’établissement situé au centre-ville de Rivière-du-Loup.
Avec en poche un bon bagage d’expérience dans le domaine de la restauration, Nicolas Morin avait fondé le restaurant situé au coin des rues Lafontaine et Sainte- Anne en 2011, proposant du coup un nouveau concept aux gens de la région.
«Aujourd’hui, une page d’histoire se tourne pour moi. Je confie le Sympo à quelqu’un qui, comme moi, carbure aux défis du secteur de la restauration, Sébastien Falardeau. Je suis convaincu qu’il va poursuivre l’œuvre amorcée avec détermination et apporter sa touche personnelle au fil du temps», exprime Nicolas Morin qui, de son côté, restera actif et engagé dans la région, demeurant toujours franchisé propriétaire de Dixie Lee, Yuzu Sushi et Chocolats Favoris.
Originaire de Lévis, Sébastien Falardeau n’en est pas à ses premières armes : il a d’abord étudié en gestion hôtelière avant d’occuper un poste comme directeur de la restauration. En 2015, il s’est porté acquéreur d’un bar dans la région de Québec et a par la suite été associé dans un restaurant à Cap-Rouge, avant d’en vendre les actions afin de relever ce nouveau défi à Rivière-du-Loup.
«Le Symposium Resto Boutique, c’est une institution à Rivière-du-Loup. Quand une connaissance commune m’a informé que le commerce était à vendre, j’ai immédiatement signifié mon intérêt. J’ai visité l’établissement au début août 2023 et j’ai pu constater sur place tout l’excellent travail de Nicolas qui en a fait un véritable joyau», souligne le nouveau propriétaire.
Sébastien Falardeau entend consacrer sa première année à la barre du Symposium en conservant la «recette gagnante» élaborée depuis 2011. «Nicolas et moi travaillons de la même façon, il n’y aura donc pas de grand chambardement, de changement majeur. Le menu va continuer d’évoluer deux fois par années, comme cela se faisait jusqu’à tout récemment», a-t-il conclu.
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