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infodimanche | Le 7 juin 2017 INFO ÉCONOMIE 51
SPÉCIAL TOURBE
Au-delà de ces données impressionnantes et
de sa matière première au cœur de son dévelop-
pement au fil des années, soit la tourbe, ce succès
local et international repose en grande partie sur
des équipiers recrutés en raison de leurs compé-
tences professionnelles et de leur désir de faire
partie d’une équipe stimulante et dynamique.
Marie-Josée Bouchard, superviseure dévelop-
pement organisationnel, Équipe Attraction de
talents, partage depuis 11 ans avec les candidats
potentiels de Premier Tech, les grands métiers de
l’entreprise, ses valeurs, sa culture unique et ce
qui passionne ses équipiers. « En échangeant
avec les candidats quotidiennement, je me rends
compte à quel point Premier Tech est méconnue!
Il est vrai que créer des produits à base de tourbe
fait partie de l’une de nos grandes passions. La
tourbe est une ressource naturelle renouvelable,
extraordinaire pour l’horticulture et pour l’assai-
nissement de l’eau, présente en abondance dans
notre belle région de Rivière-du-Loup. D’ailleurs,
c’est dans l’industrie de l’horticulture que Premier
Tech est née, en 1923, et c’est probablement pour
cette passion que les gens nous connaissent le
plus », a mentionné Mme Bouchard.
Nous désirons tous que notre travail soit le
plus stimulant possible. Chez Premier Tech, le
développement de l’entreprise est directement
lié aux projets en innovation qui s’y sont succé-
dés. Parmi les expériences que l’on peut y vivre
comme équipier, Marie-Josée Bouchard en a
choisi une, spécialement pour vous, afin de vous
faire découvrir ce qui se cache derrière les équi-
pes d’innovation.
HISTOIRE DE LA MOLÉCULE
RÉVOLUTIONNAIRE : S’INSPIRER DE LA
NATURE POUR CRÉER DES PRODUITS.
« Être passionné, c’est accepter de se laisser
envahir par nos idées au moment où elles déci-
dent de se présenter à nous. Même lorsqu’on est
au beau milieu de la nuit. C’est aussi refuser de
les laisser s’évaporer avant d’avoir eu l’occasion
d’aller au fond des choses, en des temps plus
opportuns. L’histoire qui a mené au lancement du
tout nouvel herbicide sélectif de Premier Tech,
Wilson WeedOut® Ultra, a débuté exactement
ainsi. Par une idée relativement simple. Nous
maitrisions déjà de nombreux produits entière-
ment naturels, stimulant la croissance des végé-
taux.
Pourrions-nous en identifier qui permettraient
d’en accélérer, pas la croissance mais le vieillisse-
ment, jusqu’à la mort? », a exprimé Mme
Bouchard. L’équipe de Premier Tech s’est mobili-
sée autour de la question pendant six ans et
aujourd’hui ses membres peuvent l’affirmer avec
certitude : « Oui! Il est possible d’avoir recours à
la puissance de la nature pour éliminer les plan-
tes indésirables en laissant intact le gazon qui les
entoure. En isolant et concentrant une molécule
naturellement présente dans certains végétaux,
nous avons réussi à produire une solution des
plus efficaces aux problèmes de mauvaises her-
bes. La prochaine révolution verte! »
À Rivière-du-Loup, des gens d’un peu partout
y viennent pour travailler dans les opérations de
biotechnologies végétales de Premier Tech. « On
aime ça créer et fabriquer des produits qui vont
révolutionner les marchés. Ça fait partie de notre
ADN. Dans le processus de création de nouveaux
produits, on planifie bien sûr les procédés
d’industrialisation et de fabrication. Nous som-
mes prêts à commencer. Croyez-le ou pas, le prin-
cipal challenge c’est : trouver 4 futurs équipiers
qui s’occuperont de la gestion des opérations et
de la chaine d’approvisionnements, qualifiés
pour travailler en milieu industriel aseptisé et les
inciter à déménager à Rivière-du-Loup! Je fais
appel à votre réseau. Si vous en connaissez, par-
tagez-leur votre passion pour notre région, ainsi
que les coordonnées de notre site web carrière:
», a conclu la
superviseure développement organisationnel,
Équipe Attraction de talents.
Premier Tech, au-delà de la tourbe
• MARIO PELLETIER
Quand on pense à Premier Tech, beaucoup
de chiffres nous viennent en tête, entre
autres 3 500 équipiers dont 1 100 tra-
vaillent au siège mondial à Rivière-du-
Loup, une masse salariale de 45 millions
de dollars dans notre MRC seulement et
une présence dans 24 pays.
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