Le 18 octobre 2017
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infodimanche
ACTUALITÉ
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CORRECTEUR : Hugo Levasseur
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Patrice Picard • Michel Courbron • Marie Eve Dubé
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Jo-Annie Lagacé, coordonnatrice au commercial
Véronique Sénéchal • Denise Beaulieu
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DÉPÔT LÉGAL
Bibliothèque nationale du Canada 1992
Bibliothèque nationale du Québec 1992
ISSN 1192-1579
Société canadienne des postes
Envois de publications canadiennes
Contrat de vente no 0139858
ABONNEMENT ANNUEL :
115$ au Canada (tx incluses)
320$ aux États-Unis (tx incluses)
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31 420 copies
ans
Il s’agit de la plus grande reconnaissance du
Programme d’excellence en eau potable
Traitement (PEXEP-T). Ce prix est décerné pour la
qualité de l’eau potable, et non sur le «gout»,
mais est plutôt basé sur la turbidité de l’eau trai-
tée ainsi que sur les critères d’inactivation des
pathogènes. Cette distinction se traduit par une
eau de qualité 3 fois supérieure aux normes
actuelles des ministères.
Mis sur pied en 2000, le Programme d’excel-
lence en eau potable Traitement (PEXEP-T) est
l’adaptation québécoise du Partnership for Safe
Water de l’American Water Works Association. Il
s’adresse aux organisations disposant d’installa-
tions de traitement de filtration d’eau de surface
désireuses d’améliorer leurs performances et de
protéger la santé publique. Au Québec, 26 muni-
cipalités regroupant 42 stations de traitement
participent au programme.
EAUX USÉES
Outre cette attestation, la Ville a aussi reçu
une mention pour sa participation au programme
d’excellence en eaux usées, le StaRRE (station de
récupération des ressources de l’eau), ayant
atteint à cet égard la phase 2. Pex StaRRE est un
programme d’excellence qui vise une améliora-
tion continue de la qua-
lité des rejets liquides
et des boues d’épura-
tion produits, en pas-
sant en revue les
aspects liés aux équipe-
ments, aux opérations
et à l’administration.
Ce programme a vu le
jour en novembre 2015
avec trois villes pilotes,
soit Rivière-du-Loup,
Sa i n t - Eu s t a c he e t
Victoriaville. Sur la
photo : Serge Cyr, vice-
président environne-
me n t d u R é s e a u
Environnement, Geneviève Pigeon, gestionnaire
du traitement des eaux à la Ville de Rivière-du-
Loup, et Jean Lacroix, PDG de Réseau
Environnement.
De l’eau «5 étoiles» à Rivière-du-Loup
OPINION DU LECTEUR
N.D.L.R. La direction se réserve le droit d’abréger certaines lettres. L’opinion des lecteurs exprimée dans cette page n’engage que leur auteur et ne reflète d’aucune façon la position du journal.
Ce montant s’ajoute au 400 000 $ déjà offert
par le gouvernement provincial tel qu’annoncé en
septembre dernier ainsi qu’à la somme de 100
000 $ issue de la MRC des Basques, de la munici-
palité, de l’entreprise BCK inc, et d’un mécène. La
somme totale du projet s’élève à 648 000 $.
Condamné depuis bon nombre d’années, le cha-
let des loisirs de Saint-Simon avait grandement
besoin de rénovations. Situé dans le parc récréa-
tif, au cœur même de la municipalité sur la route
132, le bâtiment actuel fera finalement l’objet
d’améliorations extérieures, dont le remplace-
ment de la toiture et l’ajout d’une rampe d’accès
pour les personnes à mobilité réduite. À l’inté-
rieur, plusieurs espaces seront aménagés, dont
une salle communautaire pouvant accueillir 150
personnes. Les travaux de rénovation se sont
amorcés il y a près de trois semaines.
Ottawa ajoute 157 000 $
pour la rénovation du chalet des
loisirs de Saint-Simon
PHOTO : MARC-ANTOINE PAQUIN
Dans les derniers jours, j’ai eu l’occasion de voir
divers articles traitant du Comicon de Québec et
la plupart, sinon tous, parlaient des participants
déguisés en différents personnages de la culture
populaire; ce qu’on appelle le cosplay.
Je dois vous admettre que ça me désole un peu
parce qu’un Comicon, c’est plus que des déguise-
ments.
À l’origine, un Comicon c’est une convention
de comics. Le premier a été fondé en 1970 par
Shel Doft et a eu lieu à San Diego. L’événement
s’est ouvert par la suite à une plus large culture
geek et populaire comme le cinéma, les jeux, les
mangas, les séries télés et bien entendu le cos-
play qui est devenu l’emblème médiatique de ces
conventions.
On le sait, la culture geek est de plus en plus
populaire. Maintenant, c’est “cool” d’être geek. Il
fut pourtant une époque où c’était totalement le
contraire! Les conventions ont certainement aidé
à démocratiser cette culture mais depuis un cer-
tain temps, elle la stigmatise sans le savoir par
une couverture médiatique qui s’intéresse seule-
ment au phénomène du cosplay. En se faisant, on
passe souvent sous le silence la raison même de
leur création, les comics! Comprenez-moi bien, je
ne suis en rien contre le cosplay, au contraire, je
crois que c’est une partie de la culture geek qui est
extraordinaire et qui démontre très bien la grande
passion des gens qui pratiquent cet art. Car oui, le
cosplay, c’est un art. Cela demande un énorme
travail de recherche et de conception pour bien
personnifier ces personnages. Il serait intéressant
de bien comprendre le pourquoi du besoin de ces
personnifications au lieu d’en faire de belles pho-
tos vides de sens mais qui sont tellement jolies et
spectaculaires pour parler une fois par année du
Comicon. Le cosplay, comme la culture geek, ce
n’est pas seulement des déguisements!
La culture geek, c’est vaste. Elle est un amal-
game de plusieurs passions mises ensemble pour
créer un collectif qui regroupe des gens passion-
nés. Une convention comme le Comicon sert à
mettre en l’avant plan ces passions et les parta-
ger à monsieur et madame tout le monde. Les
médias, en mettant l’emphase que sur le cosplay,
passent à côté même de la mission du Comicon.
En ne parlant pas des artistes, des bédéistes, des
auteurs, et j’en passe, c’est tout un pan de la cul-
ture qui est laissé dans l’ombre des cosplayers.
Cela a pour effet, dans la population en général,
de réduire la culture geek à seulement des dégui-
sements.
En tant que geek, nous avons un devoir de rec-
tifier le tir et de bien expliquer ce qu’est la culture
geek et à quoi sert un Comicon. Si nous voulons
que cette culture, qui est la nôtre, continue de
s’épanouir et s’ouvrir sur le monde, nous devons
en parler, la présenter, la publiciser. Pas seule-
ment l’une de ses facettes mais bien l’ensemble
qui fait que cette culture soit si passionnante et
populaire!
Marc “The Paper Man” Gagnon, podcasteur
Podcast des Crinqués
Un Comicon c’est plus que des déguisements
•
[email protected]FRANÇOIS DROUIN
Le vendredi 13 octobre, le maire de Saint-
Simon flanqué du député néodémocrate
de Rimouski-Neigette - Témiscouata - Les
Basques Guy Caron a confirmé l’octroi par
Ottawa d’une somme de 157 000 $ grâce au
programme d’infrastructure communau-
taire de Canada 150.
•
[email protected]MARC-ANTOINE PAQUIN
La Ville de Rivière-du-Loup a vu la qualité
de son eau potable soulignée pour une 2e
année consécutive dans le cadre du
Symposium sur la gestion de l’eau qui s’est
tenu les 11 et 12 octobre à Lévis. Rivière-du-
Loup a gardé son attestation «5 étoiles»
pour la qualité de son eau produite à sa
station d’eau potable durant l’année 2016.