Je ne suis pas allée donner du sang

Il y a tellement de sujets importants sur lesquels porter notre attention :

Le jour de la Terre ou les changements climatiques.

L’achat local.

L’isolement des personnes âgées.

La santé mentale.

Mais je laisse ces sujets à mes collègues blogueurs qui en traitent avec beaucoup plus d’habileté que moi.

Je vais plutôt vous faire une confidence : je suis gênée d’avouer que je ne suis jamais allée donner du sang. J’avais l’intention d’y aller lors de la dernière collecte qui s’est tenue à Rivière-du-Loup, mais comme à chaque fois, j’ai finalement oublié de m’y rendre. 

Des membres de ma famille y vont régulièrement. Mon père participait à toutes les collectes de sang. Il en était d’ailleurs très fier. Il ne s’en vantait pas, mais cette collaboration au bien-être publique était importante pour lui.

Le site Web d’Héma-Québec mentionne qu’il faut 1 000 dons par jour pour combler les besoins sanguins de Québécois, et que chaque don, en plus de faire la différence peut aussi sauver des vies. Il n’y a vraiment aucune raison de ne pas le faire. Je n’ai même pas peur des aiguilles.

En poussant plus loin ma lecture sur le site d’Héma-Québec, je constate qu’en plus de donner du sang, certaines personnes peuvent aussi être donneurs de cellules souches, de sang de cordon, de tissus humains, de plasma ou de lait maternel. Bon, d’accord, tout le monde ne peut pas donner de tout, mais quand même, il y a plusieurs façons de faire la différence. 

Suffit de vouloir, me souffle ma petite voix intérieure!

facile!

Par Sarah Ouellet