Toilette minute!
14 juillet 2008 |
13h15
Temps de lecture 2 minutes
Par
François Drouin
L’anectode du jour! Ce midi, après-dîner, tout juste avant de retourner au journal, une petite envie se fait sentir. Je me dirige donc à la toilette et j’y fais ce que j’ai à faire. Non, mais franchement, passons les détails. BREF, je me lave les mains, me brosse les dents et… oups, la poignée de porte est coincée. Vraiment coincé je veux dire. Au secours, je ne peux plus sortir. Je suis embarré!
Moment de panique! Je suis coincé aux toilettes. J’accuse le choc, je me dis que c’est impossible… Je tourne la poignée dans tous les sens, rien n’y fait. Elle ne tire plus le loquet. Pogné là. Regard furtif à la toilette, non ça va, elle ne déborde pas. OK, ç’aurait pu être pire.
Je prends mon courage à deux mains et appelle ma conjointe « Chérie? Chérie, y a un problème… Non, le papier, ça va, c’est la poignée de porte… Elle est coincée ». De l’autre côté de la porte, quelqu’un s’amuse. Ça rigole. « Comment ça appeler les pompiers? Niaise pas là! ». Définitivement, de l’autre côté de la porte, c’est franchement plus drôle.
Je regarde à ma ceinture, mon cellulaire est là. Pendant une fraction de seconde je songe à téléphoner au journal « Allo, c’est François, je suis pris aux toilettes et je… », non mauvaise idée. Je refuse d’être le running gag du bureau. Merde. Et c’est le cas de le dire. Je suis embarré, coincé, pogné, prit… C’est moi ou il fait chaud là?
Ma conjointe n’écoutant donc que son courage entreprend de libérer son homme. Et la voilà, tournevis à la main, bébé dans l’autre et entre deux pouffements de rire, qui s’attaque à la [bip!] de poignée de porte. Une minute plus tard, j’étais à nouveau un homme libre. Ouf!
C’est à ça que ressemblent mes journées. C’est palpitant, non, la vie trépidente de journaliste? Voici donc ce qu’il reste de cette cochonnerie de poignée de porte en plastique. Au moment où je vous écris ces lignes, le concierge en installe une toute neuve.
Le commentaire de ma douce : « Ç’aurait été beaucoup plus drôle si je n’avais pas été là ». Allo, le 911?
Je vous l’avais dit que ça serait léger… ;)
Bon, je vais tester les portes des toilettes du journal, à bientôt.
Moment de panique! Je suis coincé aux toilettes. J’accuse le choc, je me dis que c’est impossible… Je tourne la poignée dans tous les sens, rien n’y fait. Elle ne tire plus le loquet. Pogné là. Regard furtif à la toilette, non ça va, elle ne déborde pas. OK, ç’aurait pu être pire.
Je prends mon courage à deux mains et appelle ma conjointe « Chérie? Chérie, y a un problème… Non, le papier, ça va, c’est la poignée de porte… Elle est coincée ». De l’autre côté de la porte, quelqu’un s’amuse. Ça rigole. « Comment ça appeler les pompiers? Niaise pas là! ». Définitivement, de l’autre côté de la porte, c’est franchement plus drôle.
Je regarde à ma ceinture, mon cellulaire est là. Pendant une fraction de seconde je songe à téléphoner au journal « Allo, c’est François, je suis pris aux toilettes et je… », non mauvaise idée. Je refuse d’être le running gag du bureau. Merde. Et c’est le cas de le dire. Je suis embarré, coincé, pogné, prit… C’est moi ou il fait chaud là?
Ma conjointe n’écoutant donc que son courage entreprend de libérer son homme. Et la voilà, tournevis à la main, bébé dans l’autre et entre deux pouffements de rire, qui s’attaque à la [bip!] de poignée de porte. Une minute plus tard, j’étais à nouveau un homme libre. Ouf!
C’est à ça que ressemblent mes journées. C’est palpitant, non, la vie trépidente de journaliste? Voici donc ce qu’il reste de cette cochonnerie de poignée de porte en plastique. Au moment où je vous écris ces lignes, le concierge en installe une toute neuve.
Le commentaire de ma douce : « Ç’aurait été beaucoup plus drôle si je n’avais pas été là ». Allo, le 911?
Je vous l’avais dit que ça serait léger… ;)
Bon, je vais tester les portes des toilettes du journal, à bientôt.
Commentaires
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10 commentaires
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Imagine si çavait été dans des toilettes chimiques... Avec les pompiers qui viennent scier la porte avec leur grosse scie ronde... hahaha!
Ben au moins si j'ai tout compris, t'es pas resté là longtemps, une petite pause kitkat comme dirait l'autre.
Et puis, ç'aurait pu être pire, genre ne pas pouvoir y entrer... ;)
@ Stéphane: Malgré la mauvaise qualité de ma photo, je t'assure, il s'agit bien de salle de bain et non de "chiottes".
Pis obligé d'appeler sa femme pour se faire déprendre! T'es vraiment ce qu'on appelle un homme "rose".
Quelle couleur la poignée de porte?
Pour l'homme "rose", pas vraiment non. Mais je ne suis pas non plus M. Bricole. :)
Je prend bonne note qu'elles pourraient être dangereuses!
Mais c'est quoi cette idée de barrer la porte des toilettes chez-soi, le midi quand on n'a pas de visite à la maison??? ;)
L'idée? Tu la connais pourtant, deux ans et dix mois, jolie comme tout et un sens de la curiosité assez développé. :)