Bonjour la rentrée!
23 juillet 2008 |
13h10
Temps de lecture 2 minutes
Par
François Drouin
Hé bien voilà, première semaine de vacances de la construction et qu’est-ce qu’on voit? Non pas le soleil, d’ailleurs on ne l’a pas vu souvent lui. Non, cherchez encore un peu. Le matériel de la rentrée scolaire envahit les rayons des magasins et les manteaux d’hiver sont maintenant accrochés sur les murs des boutiques de vêtements. Youhou, nous sommes le 23 juillet, l’hiver c’est le 21 décembre!
Aujourd'hui, je me rends dans un commerce de fourniture de bureau pour y acheter un lecteur de cartes mémoire pour le journal. Les vendeurs passent leur temps à me “piquer” le mien. Bref, j’arrive à la caisse et qu’est-ce que je vois? Une gentille maman qui, lors de la seule belle journée de la semaine, amène fiston acheter son matériel d’école: dictionnaire, ciseau, cartable, crayons, efface et j’en passe. Le p’tit gars, c’était évident, aurait bien préféré jouer au foot que de choisir entre un cartable bleu ou vert.
Le pire, c'est que cette maman castratrice des plaisirs d’été avait planifié son mauvais coup. Parce que oui, je l’ai bien vu. LA liste, elle l’avait bien en main. C’était prémédité ce magasinage-là! Bientôt ce sera le magasinage des pantalons corduroy beige et des chemises à carreaux brunes… Excusez-moi, je suis resté marqué par ma propre expérience. Non, heureusement pour lui, le corduroy c’est plus dans le vent. Je me suis dit qu’elle devait effectuer ces achats avant de partir pour le reste de l’été au chalet. Pas possible sinon. C'est bien beau la planification, mais pensez au moral de ces petits choux!
Je me rends ensuite au Centre commercial de Rivière-du-Loup (Dave doit être content). Je cherche un petit chapeau de plage pour ma fille pour nos vacances annuelles en Gaspésie. Première boutique: Des manteaux d’hiver. Ouch! Deuxième boutique: Des manteaux d’hiver. Ça m’a foutu le moral à terre. C’est l’été, ne venez pas me parler d’hiver! « Oui, mais M. Drouin, dans deux mois nous n’auront plus de choix ». Alors bon sang, sortez-les seulement dans deux mois vos cossins d’hiver.
Non mais si ça continue, je vais tout simplement louer des vêtements d’été, même pas le temps de les user.
Bref, aujourd’hui le 23 juillet… Il y avait des odeurs de rentrée scolaire et d’hiver. L’été est même pas encore là.
Aujourd'hui, je me rends dans un commerce de fourniture de bureau pour y acheter un lecteur de cartes mémoire pour le journal. Les vendeurs passent leur temps à me “piquer” le mien. Bref, j’arrive à la caisse et qu’est-ce que je vois? Une gentille maman qui, lors de la seule belle journée de la semaine, amène fiston acheter son matériel d’école: dictionnaire, ciseau, cartable, crayons, efface et j’en passe. Le p’tit gars, c’était évident, aurait bien préféré jouer au foot que de choisir entre un cartable bleu ou vert.
Le pire, c'est que cette maman castratrice des plaisirs d’été avait planifié son mauvais coup. Parce que oui, je l’ai bien vu. LA liste, elle l’avait bien en main. C’était prémédité ce magasinage-là! Bientôt ce sera le magasinage des pantalons corduroy beige et des chemises à carreaux brunes… Excusez-moi, je suis resté marqué par ma propre expérience. Non, heureusement pour lui, le corduroy c’est plus dans le vent. Je me suis dit qu’elle devait effectuer ces achats avant de partir pour le reste de l’été au chalet. Pas possible sinon. C'est bien beau la planification, mais pensez au moral de ces petits choux!
Je me rends ensuite au Centre commercial de Rivière-du-Loup (Dave doit être content). Je cherche un petit chapeau de plage pour ma fille pour nos vacances annuelles en Gaspésie. Première boutique: Des manteaux d’hiver. Ouch! Deuxième boutique: Des manteaux d’hiver. Ça m’a foutu le moral à terre. C’est l’été, ne venez pas me parler d’hiver! « Oui, mais M. Drouin, dans deux mois nous n’auront plus de choix ». Alors bon sang, sortez-les seulement dans deux mois vos cossins d’hiver.
Non mais si ça continue, je vais tout simplement louer des vêtements d’été, même pas le temps de les user.
Bref, aujourd’hui le 23 juillet… Il y avait des odeurs de rentrée scolaire et d’hiver. L’été est même pas encore là.
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Pis à Matane si tu as le malheur de t'embarrer dans une quelqueconque pièce une p'tite demie-heure, tu risques d'avoir manqué la belle saison...